Lames sans cible s’abstenir ! ne venez pas vous plaindre après, je vous aurai prévenu !
Car là je me suis lâché grave, et quand mon cerveau malade éjacule ; je refais l’enduit des murs de mon crâne !
Allez ! Courage ! De l’extase ! Du bonheur pur jus ! Du Pied ! De la Cuisse !
De l’entre jambe de bonne compagnie ! Bon, c’est si bon de parler bonbons !
C’est vrai ça, après tout ! C’est la question qu’un grand nombre d’entre vous doivent se poser, noyés qu’ils sont depuis des jours par un flot continu d’informations contradictoires par radio, télé et presse écrite ! Laissez-moi donc vous expliquer un peu de quoi il retourne puisqu’il se trouve que cette raffinerie j’ai marché dedans il y a 31 ans…
Celui qui furtif s’adapte à tous les orifices, discrètement se glisse entre pelisse secrète et peau lisse secousse afin d’ouïr et de quérir les confidences abandonnées entre une oreille et un oreiller.
Le bon roi Henri ! Personnage haut en couleurs à une époque ou le noir et blanc n’existait pas encore… Son règne fut marqué par de nombreuses guerres d’ire religion entre les catogans et les protestiques, les cahotiques et les trop distants…Mais comment être cathodique alors que la télé n’est pas encore inventé…Et pourquoi protester contre çà ?
Ou l’on voit des Sentis lettres converties en sentis drame par sentis mètre…
Je vous délivre ici en pelle qui s’emmêle quelques réflexions refusées par mon miroir. Voix sans issue de secousse issues du désordre intérieur qui règne dans les neurones rongés et dérangés de mon cerveau. Moi qui ai choisi depuis longtemps entre cerf et veau…
Histoire de faire des ronds dans l’eau avec des carrés de caillou. Encore des bribes abattues de mes pérégrinations neuronales. Quand j’en ai parlé à mon psy, il s’est jeté par la fenêtre…Pffff..Quelle idée aussi d’habiter au vingt septième étage.
Il n’est rien de meilleur pour démontrer sa force virile et sa puissance de testostérones que d’enfoncer des portes ouvertes ! Grâce à des propos courant d’air qui s’envolent en belles paroles dans le vent pendant que les aigris restent à tremper leur plume dans le fiel d’orage !
A force de le répéter, par bouche à oreille, par bouche à bouche, par bouche de métro et bouche d’égout ! De toute façon et Couac vous en pensiez…Sachez (de poudre) qu’il y a toujours un fion de vérité dans ce que je vous raconte en banque !
Petit billet pour exprimer une colère glacée, une irritation tenace voire une exaspération redondante (attention, c’est la route vers l’ulcère !) face à l’information telle qu’elle est maltraitée à la télévision. La nausée m’avait déjà saisie les boyaux lors des manifestations défendant nos retraites, et une couche culottée à été remise avec la situation de notre (oui, elle est à tout le monde !) raffinerie de Petit Couronne !
Grâce aux sondages en profondeur nous allons pouvoir faire un point précis sur les divers avis des français de ce pays. Car en effet comme cela ne vous aura certes point échappé, l’urine des temps est trouble et la période a le caca nerveux… Donc à fin de savoir ce que pensent nos chers trous du cul, rien ne vaut une bonne coloscopie d’opinion sur rue !
Plus le temps d’écrire ni la tête assez dégagée pour batifoler du neurone…
Entre les kilomètres enfilés dans les défilés de manifs
Les mètres piétinés devant le poste de garde de la raffinerie en grève
Bing !
Un choc violent sur le front réveille d’un bond Sonotone Mégalotonne. Après examen ce n’est qu’une banale érection matinale qui a propulsé son gland taper au dessus de ses yeux.
Pour qui, pourquoi ?
Etait-ce les trépidations régulières du convoi qui plutôt que bercer ses sens les exacerbaient ?
Toujours est-il que le voilà à huit heures du matin saisi d’une violente et irrépressible érection au sein de son pantalon !
A laver ou avalée. A levier et à lever. A sous et à dessous. A café et à crème. A calculer et à pêcho ! Ne dites pas de mal car je rappelle que machine n’est jamais que le féminin de machin. Sinon j’avertis que ce billet est cru cru. Il parle de fesses, de ce qu’il y a entre, et devant ! Ames sans cibles, passez votre chemin de croix !
Me revoilà ! Flirtant entre les gros roberts de Larousse ! pour rétablir la vraie ridée. Alors on embarque pour une petite cargaison de hot définitions, suivez le lent guide languide et n’oubliez la pièce à la sortie ! Et si le monde qui vous entoure est pourri, dites-vous que c’est ici la réalité !
Quelques que nouveaux soliloques de philosophoque ! Des débris de pensées ramassés par terre quand la raison se casse. Des raisonnements de péripatéticien en déambulation spirituelle !
Vous lancez des mots tus depuis longtemps et puis après…Motus ! Alors permettez-moi de vous en expliquer quelques uns quelques zen à ma façon et à ma faconde !
Latin par essence, je suis tactile du verbe et du geste ! Persuadé que la chair et l’esprit sont intimement liés. Aussi laissez-moi vous tripoter les neurones à défaut de vous peloter l’épiderme !
Petite ballade le long des criques d'Armorique au pays ou la mer n'en finit plus de parler alors que la Terre a fini de se taire...
Voila un texte écrit il y a quelques années qui me tient particulièrement à coeur à une époque ou les enfants paient cash les conneries des adultes...
en pleine gaie quête d'identité nationale, j'amène ma petite pierre à l'édifice, tel un caillou dans la chose sûre...Besson ! Pétain coup t'es tout pâle !On dirait un petit Vichy !
Deuxième leçon de choses et de bonnes manières pour apprendre à piloter correctement cette fusée potentielle qu’est la carlingue humaine ! Accrochez-vous au manche, on décolle et on s’envoie en l’air vers le septième ciel !
Tout sur les mariages de raison, les marivaudages forcés, les alliances passées la blague au doigt d’honneur, la pagaille des magouilles et la mitraille des bidouilles ! les dernières opérations d’addition, de multiplication, de division ou de soustraction avant les résultats sans égal !
J’aime le calme des cimetières, le seul endroit ou en fin de non recevoir même les cons se taisent. Le silence des allées sans retour, la poésie brut de coffrage des épitaphes qui en quelques lignes de l’humain tentent de résumer une vie entière à défaut d’être totale. Ces quelques mots gravés dans la pierre ou des inconnus s’illustrent sans se la raconter…
Le seul endroit ou sont légitime les mots : A jamais, pour toujours…
Plus tard, quand je serai grand, je serai…Je serai…Je saurai ce que je veux faire plus tard quand je serai grand ! Et si je ne trouve pas sur le marché du travail chaussure à mon pied, j’inventerai moi-même le labeur qui me bottera sans me lasser !
--- A couvert ! On nous canarde !
--- Aaaaah ! Merde ! Je suis touché !
Instantanément, malgré les déflagrations qui succèdent aux détonations résonnant aux quatre coins du village, je me retourne vers le lieutenant Imbert qui vient juste de crier en tombant derrière moi.
Puritain, passez votre chemin ! Horde de moralistes ; hors de ma liste !
Car ici à cru c’est réfection de bas étage en dessous de la ceinture. Ravalement de salive en façade pour pénétrer par la porte de derrière. Dévers de gondés qui entrouvre des porte mi closes…
Car si cela venait à s’ébruiter, je ne réponds de rien ! Donc, vous le lisez, puis vous l’imprimez, et ensuite vous faites une boulette avec le papier (avec le papier, j’ai dit !)
Et vous l’avalez ! Si l’un de nous est pris…On ne s’est jamais rencontré, ni vu ni parlé !
Bonne chance…
Causons un peu des américains légitimes, c’est-à-dire ceux que le gros Colomb a injustement nommé « Indiens » un matin de gueule de bois en crashant sa caravelle sur leur côte meurtrie un lendemain de cuite à l’eau de mer. Les indiens…Ces vrais américains…Et non pas le ramassis de coupe-jarrets et autres trousse-chemises déversés du vieux continent comme on vide incontinent un poubelle !
Jean-Pierre qui aurait pu s’appeler Pierre-Jean a décidé de jouer sa vie à pile ou face
Prêt à subir les caprices d’une pièce de monnaie anonyme lancée en l’air pour retomber sur le côté qu’elle seule aura choisi…