Celle qui cherche la vérité sagement ! par des définitions que je vous fourgue honnête, même si cela vous semble parfois uniforme, et peu importe la police, ce qui compte c’est que vous finissiez en cellule grise !
Allez, viens ! C’est bref et violent comme un orage d’été. C’est court toujours, même si ça ne rime à rien. C’est aérien et renversant comme le baiser furtif d’un lampadaire sur la joue offerte du distrait qui regarde derrière lui le troublant jupon qu’il vient de croiser en oubliant de prendre en compte l’obstacle psychorigide !
comme l'aurait dit le grand Jacquot Higelin !
UN peu de moelleux dans ce monde de brut !
Petite récréation sans préambule de savant. Quelques brèves comme l’existence qui tendent à prouver qu’on peut faire la Gaule sans faire la gueule ! Amusez-vous sinon en pièces vous finirez au musée…
Quelques quatrains de banlieue qui en grandes lignes vous feront voyager dans mon univers. Un peu de peinture luronne jetée par attouchements légers sur ce monde gris qui s’aigrit. Comme dirait ma palette de port ; Faut pas gouacher ! Alors ne faisons pas tâche…
Non !
Cherchez pas ! Y en a pas !
ne la réclamez plus, n'essayez plus de vous la faire car
En effet de manche, comme vous aurez pu le remarquer à vos dépens denses
Il n’ y a pas de justice, puisque la justice n’existe pas !
En voici quelques uns des miens livrés en pâture. Ces grandes envolées lyriques tragi-comiques ou l’on se sent irrésistible et plus léger que l’air ! …Pour finalement soudain s’écraser lamentablement comme une…merde alors en crash cash sur la terre ferme ! Sous l’œil goguenard et faussement compatissant de témoins heureux de notre malheur…
Alors régalez-vous, c’est ma tournée ! je vous les certifie tous AUTHENTIQUES !
--- A couvert ! On nous canarde !
--- Aaaaah ! Merde ! Je suis touché !
Instantanément, malgré les déflagrations qui succèdent aux détonations résonnant aux quatre coins du village, je me retourne vers le lieutenant Imbert qui vient juste de crier en tombant derrière moi.
allez...Après le coup de gueule précédent, une petite bulle de poésie...Quelques mots qui jouent entre eux comme des enfants espiègles et innocents sans penser forcément à mal en double sens...
Bon mais à quoi bon alors ? Et bien, parce qu’on ne sait jamais… Comme a dit le sage sur sa montagne : « mais qu’est-ce que je fous là !? » tout le problème est là ! Est-ce que ce qui est vain est inutile… ? Si oui, alors à quoi sert le vingt et un… ?
Rot du synapse, pet du cervelet, gaz de l’esprit, vent de la conscience ! Tels sont ces nouveaux écrits que je vous livre tels que je m’en délivre ! Comme je dis toujours, hameçons cibles s’abstenir !
Voilà ! En ces temps de crise, il est bon de remplacer la crise de morosité par la crise de foie et les chocolats ou la crise de rire et l’humour ! Par contre un petit conseil de survie ; ne frappez jamais un Con, car comme le Sida ; c’est contagieux ! Ou alors protégez-vous et mettez des gants…
Nan c’est vrai quoi ! J’ai une pensée pour mon ami suisse (rien à voir avec la voiture) Ardison (rien à voir avec l’animateur Télé) qui m’avait fait remarquer à juste titre qu’il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier (il faut faire un panier spécial pour les cons tant banques) il n’empêche que dans son foutu pays de faux mages blancs comme neige (tout à voir avec le blanchiment) il demeure une fieffée palanquée de fumiers qui y font certainement l’herbe plus verte !
Ce jour est aux billes de clown dont je me targue de faire partie, ce que le 1er janvier est aux gueules de bois (auxquelles il m’arrive quelque fois d’appartenir). Le jour sacré des farceurs et de la déconne à plein tube, le jour béni des poissons dans le dos des pêcheurs, le jour J des fausses infos et authentiques canulars ! Bref, pour les bouffons de mon espèce, c’est comme une deuxième date anniversaire. Le jour ou je suis venu à la vie de fariboles, de fadaises et autres carambouilles !
Trocétro ! Cétacé !
C’est insupportable, de ping pong comme de salle à manger !
Irritant laveur et Barbara stressant !
Grotesque en gros texte et ridicule de basse fosse !
Bref pour faire Kurt ; il faut que cela cesse c’est sûr !
Un petit spécial pour les hypocondriaques (rien que le nom fait peur !) histoire de recenser nos maux croisés. Les bobos des bobos, les bibis des babas, les bobos et bibis qui font pleurer les gros bœufs comme des bébés !
Voila donc un billet qui n’aura pas lieu car il aurait contenu mes propos aveugles toutes les fois ou j’ai dépassé les borgnes ! toutes les fois ou je suis allé trop loin dans le mauvais goût, outrepassant les limites du supportable…Alors, tant pis ! Hein ? Faites donc comme si il n’y avait rien après cette introduction anale…heu ! je veux dire banale !
Hein ? Chez vous aussi ! Que voulez-vous, c’est la crise…Là, toute grise ! Alors au lieu de l crise de fou rire on fait grise mine. De plus en plus on fait sans… Bon allez, voilà une poignée de bonbons ! Et comme dirait mon nounours : à peluche !
Je me réveille ce matin, fourbu et brisé par une nuit de suractivité ayant pris la place du sommeil réparateur. Une nuit d’actions virtuelles emplie de ces rêveries bâtardes qui oscillent en permanence entre doux rêve et rude cauchemar. Mais je vous en prie, prenez place, je vous emmène. A peu près comme toutes les nuits depuis des mois, nous voilà dans la raffinerie. Mais ô surprise !
Quand de manière épizootique, le spasme d’un nain qui s’tend, un neurone clignote comme le néon usé d’un hôtel borgne dans la nuit sans fin ni fond (sans fion, donc) surgissent alors des pensées turgescentes en tête à queue sans queue ni tête tel un soixante neuf donc le neuf aurait été émasculé et le six guillotiné…Je vous les livre tel que mon encéphale les défèque…brut sans décoffrage !
Tiens, c’est comme si j’y étais ! En direct live, à vous lorgner derrière mes lorgnons ! Plus je vous épie et plus je sais tout ! Et pis c’est tout ! je suis un sociologue du trottoir, un humaniste du pavé qui oscille entre épate éthique et pathétique…
voila une nouvelle histoire courte. Elle lance le deuxième volume de mes Histoires courtes. Comme pour vous donner l'eau à la babouche et j'espère fortement faire bon accueil au bouquin qui va paraître courant mai !
Mais si Messie! Allez par la queue de la comète ! Soyons fous soyeux flous ! Jouons avec les mots comme d’autres avec l’émail ! Une maille à l’endroit un mail à l’envers…allant vers qui ? kiki ?
Ne la subissez plus comme un calvaire. Voici donc quelques activités balnéaires histoire d’occuper vos longues après midis échoué sur le sable. Bougez ! Et mangez cinq fruits de mer par jour !
Petit hommage à l’écru au pays de Camembert 1er, des « pommes pommes girls », des galets et galettes, des forêts vertes automne hiver comme printemps été ! A cette terre qui m’a vu naître bien que je ne vis pas le jour de boue dans un champ…
Il y avait un petit moment que je ne vous avais narré par le menu les circonvolutions d’un personnage historique. Hein ! mes chères ouailles ! Alors, avant les vacances et afin de pouvoir frimer à l’apéro en étalant votre culture comme de la crème solaire, voici la vraie vie vécue par Armand Du Plessis dit : Richelieu !
C’était beau et émouvant comme un arc-en-ciel dont la palette aurait été dupliquée par cent, par mille. Pour une fois toutes les couleurs du temps et leurs demi teintes de saison étaient représentées. Pour une fois, nous étions tous entièrement d’accord pour être complètement contre !
Donc, acte. Une manifestation de mécontentement et de colère dans la joie et la bonne humeur. Une manifestive, quoi !
C’était un de ces petits matins gris jaune pisseux, comme si les Dieux paillards et païens soignaient leur gueule de bois de la veille en urinant copieusement sur leurs créations terrestres.
Causons un peu des américains légitimes, c’est-à-dire ceux que le gros Colomb a injustement nommé « Indiens » un matin de gueule de bois en crashant sa caravelle sur leur côte meurtrie un lendemain de cuite à l’eau de mer. Les indiens…Ces vrais américains…Et non pas le ramassis de coupe-jarrets et autres trousse-chemises déversés du vieux continent comme on vide incontinent un poubelle !
Grâce aux sondages en profondeur nous allons pouvoir faire un point précis sur les divers avis des français de ce pays. Car en effet comme cela ne vous aura certes point échappé, l’urine des temps est trouble et la période a le caca nerveux… Donc à fin de savoir ce que pensent nos chers trous du cul, rien ne vaut une bonne coloscopie d’opinion sur rue !
Un peu de sucrerie de la tête histoire d’augmenter votre diabète comme ses pieds.
Une pincée de pensées qui méritent réflexion à condition qu’elle ne soit pas désagréable…
En fait, c’est comme le sexe. Ne vous arrêtez pas aux préliminaires et vous verrez que c’est plus profond qu’il n’y parait !