Ben oui quoi, quelques petites réflexions tirées de mes fiches banales, philosophie du quotidien qui ne figure pas dans les journaux du mâtin. Pas de quoi de fouetter une chatte ou rosser un minou, mais non ! Quelques petits riens, c’est tout.
Il y avait longtemps que je ne vous avais interpellé sur une page d’histoire de France ! il n’est que temps de s’y remettre car je vous rappelle que les examens arrivent à grand pas, n’est-ce pas ? Aujourd’hui, nous allons revenir sur les rois du pays et plus particulièrement sur nos Louis !
Oui ?
une petite nouvelle (il y avait longtemps) qui figurera dans mon prochain recueil de nouvelles neuves. un amuse bouche pour vous mettre en salive !
Il y avait un petit moment que je ne vous avais narré par le menu les circonvolutions d’un personnage historique. Hein ! mes chères ouailles ! Alors, avant les vacances et afin de pouvoir frimer à l’apéro en étalant votre culture comme de la crème solaire, voici la vraie vie vécue par Armand Du Plessis dit : Richelieu !
Trop de chaînes d’infos qui mentent, de journaux peu fiables…pour être correctement informé, je ne saurai trop vous recommander de vous rapprocher de ces petits vieux qui marmonnent entre eux…tendez discrètement l’oreille et écoutez !
Il y avait longtemps ! Alors pudibonds, faux candides, coincés de la verge malsains d’esprits,
Dévots et grenouilles de bénitiers, père la morale et intégristes voilés…dehors !
Heu…oui toi aussi DSK, je te rappelle que tu es tombé dans la marmite quand tu étais petit !
3ème volet de mes dénonciations calomnieuses à caractère diffamatoire !
Je tiens tout d’abord à préciser que le site Wikileaks n’est qu’un site d’amateurs bidons !
Franchement dire que Sarkozy est susceptible et coléreux, amusant et petit…Pffffff….
C’est la trop courte histoire d’une si longue aventure…
Tout d’abord et avant tout il n’y avait rien. Enfin, pas tout à fait puisqu’il y avait le Néant. Et le Néant ; ce n’est pas rien…même si pourtant si !
Une entreprise de moyenne importance développe une photo presque fidèle de notre société. Le négatif tiré à hue, c’est dia positive en cliché et même si c’est un coup de zoom c’est donc objectif ! Il est frappant de constater comme alors les individus s’apparentent à des animaux dans leur comportement, celui-ci étant exacerbé jusqu’à la caricature d’eux-mêmes en temps de crise…
Je tiens comme il se doit dans le culte, à préciser que toute ressemblance avec des personnes existant ou croyant exister serait complètement fort truite à l’insu de mon plein gré.
Tam tatam tamtam tamtam…(c’est la musique…Mais si ! écoute mieux !)
Il y a longtemps, dans une galaxie lointaine (que t’as même pas idée d’où qu’elle est !)
En des temps immémoriaux (que jamais personne il ne se souvient plus des conneries passées !)
Mais si Messie! Allez par la queue de la comète ! Soyons fous soyeux flous ! Jouons avec les mots comme d’autres avec l’émail ! Une maille à l’endroit un mail à l’envers…allant vers qui ? kiki ?
Le bon roi Henri ! Personnage haut en couleurs à une époque ou le noir et blanc n’existait pas encore… Son règne fut marqué par de nombreuses guerres d’ire religion entre les catogans et les protestiques, les cahotiques et les trop distants…Mais comment être cathodique alors que la télé n’est pas encore inventé…Et pourquoi protester contre çà ?
J’aime le calme des cimetières, le seul endroit ou en fin de non recevoir même les cons se taisent. Le silence des allées sans retour, la poésie brut de coffrage des épitaphes qui en quelques lignes de l’humain tentent de résumer une vie entière à défaut d’être totale. Ces quelques mots gravés dans la pierre ou des inconnus s’illustrent sans se la raconter…
Le seul endroit ou sont légitime les mots : A jamais, pour toujours…
Voila quelques récits furtifs pour les lecteurs pressés. Si vous trouvez ça à votre goût, faites m'en part dans les commentaires, et j'en saupoudrerais d'autres à l'envie ! Merci
Grâce aux sondages en profondeur nous allons pouvoir faire un point précis sur les divers avis des français de ce pays. Car en effet comme cela ne vous aura certes point échappé, l’urine des temps est trouble et la période a le caca nerveux… Donc à fin de savoir ce que pensent nos chers trous du cul, rien ne vaut une bonne coloscopie d’opinion sur rue !
Sonotone qui a croqué dans le fruit des fendus, crache un pépin de pomme. Aussitôt un pommier en fleur jaillit sur le macadam. Mais la paix est de courte durite car au dessus de l’onde ; un bourdonnement. Mégalotonne s’amuse :
Je me disais aussi…L’odeur m’était familière !
Mais ne restez donc pas si loin au fond, tapi dans l’ombre ! Approchez-vous dans la lumière, et à travers mes propos décousus de fil blanc ; regardez-vous ! Oui, oui, c’est bien toi !
Depuis le tant, vous me connaissez ! Pourfendeur des contre-vérités hystériques afin de rétablir la véracité historique. Aussi tournons ensemble quelques pages (comme disait Henri III) et feuilletons les épisodes (la réciproque ne fonctionnant pas) de notre longue et copieuse royauté…
C’était une énième patrouille de routine succédant à une énième fusillade répondant à un énième bombardement, dans l’ordre du désordre.
Ne vous inquiétez pas ! Je le fais pour vous ! Ah ! t’en veux encore , hein ! Tu y as pris goût ! mais c’est que tu aimes ça, maintenant ! Allez ! Ma bonté me perdra, je vous en fais réchauffer un nouveau…
Qui n’a pas rêvé au moins une fois dans sa vie (car après il est trop tard) des mots qu’il souhaiterait voir graver sur la pierre qu’on posera sur son ventre ? Personne tout le monde ! N’est-ce pas ? Aussi je vous propose une petite promenade dans mon cimetière personnel sachant que l’inscription du jour varie suivant notre humeur du moment !
C’est qui ? C’est Quoi ? C’est toi et c’est moi donc c’est nous ! Mais c’est pas eux…Ca non ! C’est qui eux ? Les autres…Nous nous sommes les humbles. Et à quoi ça sert le Toimoinou ? A jouer ! Pardi ! Et à quoi s’il vous plaît ? Aux Dominos évidemment! Mais oui ! En d’autres temps nous étions des pions…Voués à nous dévouer, sacrifiés pour un roi ou une reine…Aujourd’hui, nous sommes des dominos ! Qui ça ? Mais Toimoinou ! Et les autres, ils ne jouent pas ? Non, eux ils regardent…après avoir lancé la partie d’une pichenette.
Après la prestation du onze national hier soir, un léger débriefing s’impose sous forme de décrassage, car à force d’aligner des tâches sur la pelouse ça commence à faire sale de sport !
Je me réveille ce matin, fourbu et brisé par une nuit de suractivité ayant pris la place du sommeil réparateur. Une nuit d’actions virtuelles emplie de ces rêveries bâtardes qui oscillent en permanence entre doux rêve et rude cauchemar. Mais je vous en prie, prenez place, je vous emmène. A peu près comme toutes les nuits depuis des mois, nous voilà dans la raffinerie. Mais ô surprise !
Vous lancez des mots tus depuis longtemps et puis après…Motus ! Alors permettez-moi de vous en expliquer quelques uns quelques zen à ma façon et à ma faconde !
Ou l’on voit des Sentis lettres converties en sentis drame par sentis mètre…
Je vous délivre ici en pelle qui s’emmêle quelques réflexions refusées par mon miroir. Voix sans issue de secousse issues du désordre intérieur qui règne dans les neurones rongés et dérangés de mon cerveau. Moi qui ai choisi depuis longtemps entre cerf et veau…
Tiens ! Prends tout ! Vas-y ! Là ! Comme ça ! Hummm ! C’est bon, hein !
Allez, profite ! Régale-toi, c’est cadeau ! Buffet à volonté, crédit illimité !
Oulah ! ou la ?
J’ouïs déjà les cris gris des prudes hommes et les « quoi semant » des grenouilles de bénitiers vont me voler dans les plumes ou me violer dans les poils ! Quelle vulgarité !
Pourtant il y avait pire..Fast Food !...mais je n’ai pas osé.
Aussi, voila de la pensée compensée, à peine éjaculée du neurone, prémachée de la bouche à oreille, prédigérée de l’estomac d’un destin grêle, préchée par l’anus horribilus
Mangez chaud, c’est servi !
C’est l’étrange histoire d’une légère petite feuille
Bout de papier vierge qui ne voulait pas plier !
Mais là voilà qui d’un coup de vent fait le deuil
De cette branche de peuplier qui l’avait abrité !
Ca ne va pas du tout !
Lectrice, lecteur ! Il faut qu'on se cause...Si, si ! il n' yen a pas pour longtemps. Allez, suivez-moi jusqu'au paragraphe suivant, on sera plus tranquille pour discuter à l'abri des regards des autres comptoirs...