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Musette au Musée !



Pendant mes vacances que j’ai voulu en volute un instant studieuse, il était normal de raison que de visiter un musée. C’est donc là même qu’au détour d’un mur mûr, je tombe en arrêt d’urgence devant un tableau, que dis-je une fresque tout en frasque narrant par la gouache la célébrissime bataille de Tuchmybolloks opposant l’armée gériatrique grabataire/mer des Australopythékantropéziens aux troupes aérosol-tétéportées des Tango-Zoulous panachés de mer fleuris en parterre…



Mek Caisse Quezzz Bazborzardel ???
Un peu d’histoire s’impose afin de vous rafraîchir le neurone faisandé…
Tuchmybolloks est la capitale secondaire de banlieue de la province du Touchatonku, elle-même rattachée par les bretelles au royaume du Kurdankibou. Petit territoire gouverné par Jean Parla-Mamin fils de Jean-Pierre Tombale et d’Elizabeth Hamangé-Dufoin, ce vélibataire en dure scie épousseta puis épousa en seizième nonosse la princesse-tueuse ; sa cousine Gertrude car Germaine n’était pas libre ce jour-là.
Mais pourqui-quoi une guerre à Tuchmybolloks pays de lac et de houille ?
Sondons qui sont donc ces Australopythékantropéziens en 26 lettres et 58 points de scrabble.
Tribu sans attribut, ils sont venus velus des mers tièdes et sucrées-salées du Sud de l’Evier en affrontant typhon de siphon par Batosurlo ou Bipèdalo, envahir la Côte de Maille qui fit moutarde. Hélas toc pour les autos chtones, ils étaient trop nombreux du nombril et ils s’installèrent durablement les fesses à l’air et les miches au four. Le grand prêtre atout qui les guidait ; Cil Topless, fut divinifié en endive vinifiée : Saint Nu. La légende du monoï qui nie venait de naître.
On leur doit, de pied, l’invention des bulbes de Champagne, du bic kiné, du night club permettant de jouer au golf la nuit, de la boîte de tongs et de l’escarpin parasol.
Bien qu’indiens issus de l’Atlantique, ils étaient plutôt pacifiques…
De l’autre côté de la côte flottante, vivaient les Tangos-Zoulous en clans et en cliques.
Tissu issu de leur lointaine Sierra Delta qu’ils quittèrent sous les Bravos emmenés par leur leader Charlie-Oscar et son empotée de compagne Roméo-Juliette, ces Yankees repentis traversèrent en flute le Golf du Quebec déguisés par des Uniformes Whisky, cherchant Hôtel en Echo. Amateurs d’India Foxtrot ils parcourent des mètres au Kilo. Mais ils finissent pas atteindre la terre promise un soir de November, sous l’égide du fils de Charlie-Oscar décédé de mort ; Mike Victor qui dédie cette victoire à son Papa à Lima.
Mais comme le quémande en demande le Kantassoi :Kissontils ?
En des temps très reculés ou la marche arrière disposait de plusieurs vitesses, cette ancienne ethnie en bord de mer, e’t’nique ta mère !
Africaine vivant sur une île paradisiaque (d’où leur nom d’Afro-disiaques) cette race de terrasse de paysans cultivent les animaux de ferme ta gueule ! Mais comme ils errent beaucoup on dit qu’ils ont le culte erreux…
C’est donc logique qu’ils finissent dans un « nomade’sland » ; le pays de Touchatonku…
Ce qui me permet de revenir aux moutons de mon tableau, car de digression en régression je me suis éloigné du verbe de mon sujet.
Pour une histoire de territoire, la cité de Tuchmybolloks ; située sur un vulgaire rocher de diamant mais paradis discal des Jamais de Fricassés, et que les deux tribus veulent s’attribuer et se redistribuer sans la buée. La guerre éclate.
Comme le prince monseigneur de l’époque Bébert roi des roberts est un faible foutriquet, il est balayé comme ta mise sur un tapis de roulette ! Et c’est la boucherie chevalière…
D’où le rouge prédominant de la toile, couleur réalisée grâce à de la fiente de babouin écorché vif aux hémorroïdes qui donne un réalisme saisissant à l’œuvre jusqu’à l’odeur.
Le peintre n’a trouvé son pervers vert qu’à la fin de sa peinture, en éternuant violemment sur la toile avant d’avoir eu le temps de se moucher du coude…
Les blancs sont magnifiques de pureté, réalisés grâce à d’intenses trous de mémoire.
Le très réaliste Gris bouilli a été obtenu par une aigrie bouillie. Par contre, son bleu s’étant fait abuser vira au violet.
Sinon cette toile qui fait jeune devant, est marrante derrière…Cat au lieu de retrouver l’envers du décor, on ne trouve que la toile brute et la signature du peintre qui malgré une entorse, ne s’est pas foulé !
Quelques anachroniques incongruités sont toutefois à noter…
Dans le fond en arrière plan à gauche, on peut reconnaître la cathédrale de Chartres traversée par la bretelle Sud de l’A6 en direction de Roissy. Dans le ciel chargé d’électricité l’ULM de Dumbo est prisonnier des fils d’une ligne à haute tension. Au sein même de la scène bataille qui oppose des hommes se déchirant, le poster de Pamela Anderson nue est surprenant…
Il faut excuser l’auteur qui n’avait déjà plus toute sa raison par abus de jus de raisin…
Guy-Lee Guili est sénile à l’âge de 7 ans et grabataire à l’âge de 12 ans. Fils d’un père fusée, célèbre alcoolique anonyme et d’une mère droguiste dans une mercerie, le pauvre part avec un handicap international au niveau gêne et tics.
Le géniteur Igolencor était danseur voutu en tutu ; flamand rosse dans le Lac des Signes. Mais il devînt père indigne et voyou en se cassant le péronette ». Sa femme Dona Laquette qui était wallonne des valons ne s’en remit jamais. Elle commença à fumer du tapioca en grappe mélangé à de la corde à linge déshydratée. Par couronner la toux elle se fit crêper le chicon alors que son mari intime faisant faisan dans le cas soulé…
Guy –Lee ne fut pas un enfant battu car ses parents ne parvenaient jamais à l’attraper, mais il eut une enfance triste. C’est pourquoi il pratique l’art triste.
Ses tableaux sont moches mais c’est voulu. Il a inventé le tableau hideux, qui relate des faits mensongers qui ne sont véridiquement jamais produits…
Ce artiste maudit qui était sourd de l’orteil gauche et possédait un furoncle au coccyx qui l’empêchait de rester debout allongé, est mort prématurément en pleine force de lâche à 98 ans alors qu’à trois jours près il allait avoir 114 ans.
Maintenant qu’il es enfin mort pour de vrai, ses peintures lures se vendent à des sommes exhorbitantes qu’on croirait des multiplications !
Ainsi ce tableau de la bataille de Tuchmybolloks intitulé : « Monte dans ta chambre ! » s’est monnayé pour la somme astronomique de 23 euros et 68 centimes ! soit l’équivalent de 24 baguettes de pain !!!
L’art valeur refuge…Surtout pour l’esthète de l’art.


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