Bonjour ! Ici c’est moi qui vide votre sac et vous qui passez à ma caisse !
Alors, voyons donc ce qui défile sur le tapis râlant pendant qu’incivil le code se barre…

Le Con est susceptible
Comme il ne comprend pas la moitié de ce qu’on lui raconte
Le Con craint toujours qu’on se moque de lui…
Voulez-vous que je vous dise pendant qu’il ne nous entend pas ?
Pour une fois, le Con a raison !
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Les froids trous du cul
Frigorifesses
Cuisinent du gaz pas chaud…
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Si tous les cons du monde voulaient se donner la main
Je pense que vu leur nombre exponentiellement croissant
Ils feraient plusieurs fois le tour de la planète…
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C’est paradoxalement inéluctable
Mais quand quelqu’un démarre sa phrase par :
« c’est pas pour dire du mal… »
Vous pouvez être certain qu’il va en dire !
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Le garenne déteste danser
Collet serré…
Sans doute pour éviter
Le cou du lapin…
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Je ne connais pas le muscle commun mais :
A force de lever le coude
On finit par plier du genou
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Je ne sais pas si l’espoir fait vivre…
Mais ce qui est malheureusement avéré
C’est que le désespoir est assassin…
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Vieillesse et connerie…qui transforment en vieux con…
Deux maladies incurables
Alors merci la mort d’euthanasier !
De la part de ceux qui restent.
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Il me souvient de cet incurable impatient
Qui ne parvenait pas à trouver un médecin
Qui puisse le transformer en patient…
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Demande entendue dans une auberge du 17ème (siècle pas arrondissement) :
« Je suis marri de mets d’ici ! J’exige quatre terrines dès midi six ! »
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Qu’emmèneriez-vous sur une île déserte ?
Un pont.
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Souvent les filles perdues
Finissent en bonnes gagneuses…
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Tant qu’il n’a pas eu d’aveux sa ration
Le commissaire fait rarement preuve
De commisération.
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Quand on a plusieurs casquettes
Il faut accepter de porter le chapeau.
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Paradoxalement dans le monde de l’entreprise,
C’est celui qui est au dessus des nuages
Qui ouvre le parapluie pour se protéger …
Alors pourquoi quand on ouvre le parapluie
Essayer vainement de passer entre les gouttes ?
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Osso bucco…
Quel drôle de nom
Pour une fellation…
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Dixit Brutus :
Le matin : Avé César ! (bonjour César)
Au crépuscule : Avé Césarienne ! (Adieu César)
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Depuis que mon copain
A fait son coming out
J’ai découvert le poteau rose…
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Ce qui me console quand de manière fortuite
Je lâche un pet quelque peu nauséabond,
C’est que peut-être un con le respirera…
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Le chalut rentre au port, chargé de morues et maquereaux
En quête du quai, le mât dressé, la barre adroite
S’érigeant, la vergue aperçoit la berge
Pour se faire accoster, la coque s’apprête à mouiller
Alors l’élingue qui tend son nœud pour l’amarrage
Apercevant la turgescence plantée sur l’appontement
S’écrie heureuse : « ca sent la bitte ! »
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20 000 lieux sous les mers…
Même avec les bottes de sept lieues…
Ca représente quand même 2857 pas…
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