Courtes lignes... (+ PLUS)

Radio Corbeau…

courtes lignes...pas vraiment ! voilà un nouvel extrait de mon futur bouquin concernant une chronique assassine contre notre raffinerie de petit Couronne sur RTL commise par un journaleux qui confond carte e presse avec droit d'écraser...

Revoilà, voilà que ça recommence ! La harangue de caque et la propagande qui pue le poison dans la douce France… J’avais déjà pointé du doigt dans l’occulte le problème de ces faux mages trop souvent laids crus qui professent et devisent à tour d’émissions dans le poste Tv entre posture et imposture. Ces pédants multi sbires qui enchaînent toutes les chaînes à la chaîne en boulet qu’ils sont ; spécialistes de rien qui causent de tout…qui font du journalisme comme je suis archevêque. Cette fois, c’est RTL qui s’en mêle les crayons à coups de micro sur les ondes.
Quid de RTL ?
Radio périphérique qui tourne autour du grand capital. Radio Télé Luxembourg, ce petit état paradoxal antichambre forte de la finance planquée. Radio très adroite dans ses analyses du ring, qui suit sa ligne droite, droite dans ses bottes jusqu’au bout de sa droiture, sans dérive droitière puisque souvent déjà de l’autre côté de la ligne droite…
Le fleuron journalistique de cette presse qui écrase ? JP Elkabbach et ce même s'il travaille du chapeau pour la concurrence à Europe UN. Tout est dit. Un parangon d’honnêteté intellectuelle, de probité morale et de neutre objectivité.
Bref merde ! Dès qu’elle fait cale, il fait référence en la matière…
Cette radio résume parfaitement cet ancien slogan publicitaire d’une vieille marque d’audiovisuel (pathé maconneri) « La voix de son maître ». Trouver le propriétaire permet d’expliquer le pourquoi du comment et le pour qui du pourquoi.
Car enfin, de quoi est-il question ? Pourquoi cette charge soudaine d’un pseudo journaleux grouillot de service envoyé exécuter la sale besogne contre notre raffinerie ?
Pourquoi ce tissu de mensonges grotesques (malheureusement plus c’est gros et plus ça passe, n’est-ce pas Sarko !) et éhontés martelés sans l’ombre du début d’un commencement de preuves avancées ?
En même temps comment trouver des preuves pour étancher des allégations aussi faussement farfelues que sciemment malhonnêtes… ?
Nous ne sommes plus dans la désinformation mais et bel et bien au bord de la diffamation. Violer à ce point de multiples fois la vérité fait de ce guignol des ondes un dangereux délinquant textuel en phrase finale.
Car il faut savoir que par malheur ce brûlot infâme et inculte a réussi son triste but. Il a semé une forte panique, une fois repris en chœur accord par la chorale médiatique des moutons bêlants, dans l’entourage des ouvriers de l’usine. Que ce soient les familles, les ouvriers eux-mêmes ou les entreprises en prise avec nos travaux, à un moment ou la confiance ne déborde pas. Notre situation réelle est suffisamment fragile pour ne pas avoir à subir des torpillages organisés autant malfaisants qu’injustes.
Cela a donc valu dans l’après midi un cinglant et brillant communiqué de presse contre celui (ou ceux) qui a essayé de : « comme nous niquer de stress »… J’avoue (presque jaloux ! ) que tout y est dit avec intelligence et brio. Aussi me permettrais-je de le reprendre point parpaing juste en y rajoutant ma pincée de zèle par excès de sel.
Toutefois avant de commencer l’exercice de cette contre chronique, je reviens brièvement (si ! c’est possible !) à ce que j’écrivais précédemment : quand un journaliste de cet acabit écrit un ramassis de contre vérités, déjà c’est qu’il n’a vérifié aucune de ses sources (polluées ou taries) ni la véracité de ses affirmations (trop fatiguant).
De deux choses lune ; soit il est inconsciemment incompétent, soit il est sciemment malhonnête. Je laisse donc à ce Philippe Roy-Contançin la liberté de choisir la place qui lui revient.
Sur ce, au boulot ! Défrichons cette prose qui sent du prose (excusez-moi par avance si je fais long pour dénoncer le félon) :
UN : La date limite de dépôts des dossiers de repreneurs se terminait le 24 mai…
Faux. C’était aujourd’hui le 25.
Elle est repoussée au 27 juillet ( !)
Sachant qu’aucune décision ne sera prise avant la semaine prochaine et que la date ainsi avancée dépasse la limite de la période de redressement nous sommes en plein nostra dramus !
Ah ! les dates…Ce journaliste doit avoir un problème avec sa femme pour leur anniversaire de mariage…
DEUX : Il n’y a aucun repreneur potentiel.
Ce sont sûrement ses potes en ciel qui lui ont soufflé l’info…
Encore raté ! Il y a à l’heure actuelle 4 dossiers considérés comme sérieux dont deux plus avancés que les autres. Aujourd’hui encore il y avait l’un d’entre eux qui faisait une visite technique du site.
TROIS : Le site et invendable à cause de la fameuse dette environnementale.
Là nous touchons au délire d’homme très mince par le raisonnement. J’en ai parlé deux pages auparavant par rapport à la somme avancée par les médias pour une éventuelle dépollution. Mais reprenons plutôt le solide argumentaire de l’intersyndicale :
Primo : qui que ce soit se doit de dépolluer les sols en cas d’arrêt définitif de l’exploitation, ce qui sous entendrait d’après la démonstration du journaliste qu’aucun site n’est vendable puisque pollué !
Deuxio : le futur repreneur n’est pas sensé venir dépolluer le site et nous mettre à mort mais faire fonctionner l’usine durablement, merci quand même !
Tertio : si aucun repreneur ne venait in finé, de toute façon il FAUDRA dépolluer. C’est la loi. Donc d’une manière ou d’une autre la clause environnementale sera remplie. La vraie seule question que se pose à l’heure actuelle, c’est : qui paie ? Mais elle n’est en aucun cas un sens interdit qui interdirait l’essence.
QUATRE : Les sols sont gorgés de résidus pétroliers.
Encore bien loin de la vérité ! Cette allégation plus qu’hasardeuse est à l’heure actuelle indémontrable puisque la batterie de carottages permettant d’évaluer l’état des sols est en cours. Cette manœuvre dirigée par mon ami Jean Marie avec qui j’ai pu m’entretenir hier et qui me disait que pour l’instant au vue des premiers résultats, il n’y avait pas péril en la demeure loin s’en faut. Comme précisé d’ailleurs par Yvon et Nico, nos sols sont bien plus propres qu’il y a 30 ans car des efforts probants ont été fournis en ce domaine. Nous sommes impitoyables avec nous-mêmes en ce qui concernent les rejets au sol ; ce drastiquement surveillé et contrôlé (et c’est tant mieux ! ) par l’organisme administratif français. Mais qu’en est-il sur ce sujet des raffineries exploitées par Shell, Total, Mobil ; Exon et autres dans les autres pays de la planète… ?
Pour finir la dessus par une semi boutade, je rappelle à toutes faims utiles que le pétrole n’est pas un produit extraterrestre mais bel et bien une source d’énergie naturelle issue de la putréfaction et de la compression d’organismes végétaux et animaux fossilisés…Que ne donnerait-on pas pour en trouver massivement dans notre sous sol national ! En tous cas c’est un réel espoir de reconversion réussie pour toi, Philippe « Roi du content de soi », puisque dans quelques millions d’années tu finiras ainsi, et toi aussi tu apporteras ta modeste contribution à la richesse naturelle du sol de la planète là ou ton absence spirituelle ne manquera à personne dans les cieux pour pleurer…
CINQ : L’intersyndicale a été reçu discrètement lundi soir au ministère.
Tout à fait bien sûr ! Dès la nuit tombée, en catimini par la petite porte derrière avec le mot de passe qui convient…
Hélas ! les comploteurs ne sont pas là ou tu les cherche, cher Philippe cancre las. L’intersyndicale a été reçu le matin comme annoncé dans la presse, la vraie (pas la tienne, mon garçon des curées) . Nous te pardonnons avec la bonté qui nous caractérise car tu ne semble pas vivre dans le même fuseau horaire que nous à RTL. (c’est le problème des paradis visqueux, on a beaucoup de mal à les situer sur une carte géo grave fric)
SIX : Shell était reçu en même temps.
Encore loupé. Tu devrais essayer la divination par les tarots ça ne serait pas pire que d’essayer de lire dans les résidus de pots d’antichambres. Quant à tes boules de cristal, je te trouve plutôt opaque des testicules ! car pour ce qui est de Shell, on sait encore reconnaître une coquille quand on croise sa route.
SEPT : Les autres groupes pétroliers (lesquels ? des noms ! des noms !) ont demandé à être reçu pour expliquer la vacuité d’un redémarrage de notre raffinerie…
Voilà un point intéressant qui mérite développement car il peut à lui seul expliquer la démarche destructrice de l’oral gratte papier
Soit c’est faux comme le reste ; dans ce cas nous comptabilisons un énième mensonge en si peu d’espaces d’informations difformes.
Ou soit c’est vrai et là c’est grave ! car ça sous entend explicitement que la concurrence nationale s’octroie le droit de décider de notre avenir, et si possible plutôt de nous couler définitivement. Mais pourquoi donc tant de haine (mon regard tangente dangereusement vers les trusts de l’UFIP) si ce n’est parce que nous démarchons avec un certain succès auprès d’investisseurs indépendants qui tiennent à le rester et que ne veulent ni travailler ni appartenir à leur institution clanique. Il s’agit pour les ufipiens de défendre à notre détriment un monopole illégal et despotique car laisser entrer un pétrolier indépendant sur le territoire signifierait la fin de leur mainmise omnipotente sur le marché national.
Mais bien sûr cher Philippe aux succions, tout ceci n’est qu’ineptes extrapolations par rapport à tes divagations de presse à sandale… Toutefois et pour finir sur le surjet, si cette théorie s’avérait, elle expliquerait l’essence même de ta chronique assassine et anti Couronnaise de raffinage sur l’antienne immobile de RTL, grande amie médéfienne de l’UFIP…
HUIT : Le vieux refrain (à disque) fourni avec couplet couperet sur la surcapacité de la branche pétrole en France…
Dès le début de ce bouquin je vous ai parlé de ce qui était la réalité de la situation. Les chiffres fournis par l’intersyndicale qui sont EUX facilement vérifiables (and very fiable !) suffisent à démontrer l’exact contraire :
En 30 ans nous sommes passés dans ce pays de 30 raffineries à 8…
Les besoins français en produits finis sont : 85 millions de tonnes par an . (ça a baissé un peu)
La capacité actuelle de raffinage français à 100% : 65 millions de tonnes (il en manque…)
Les importations de produits finis en 2011 : 41 millions de tonnes !!!
Bonjour la balance commerciale de la France !
Les chiffres parlent d’eux-mêmes, et en la matière ils sont plutôt du genre bavards !
Il est une nouvelle fois intéressant et non anodin de noter que l’argument fallacieux de la surcapacité est un vieux grief de l’UFIP chaque fois qu’une de ses raffineries tombe au chant du déshonneur. (quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage…). C’est donc sûrement par le plus pur des hasards si ce baveur sur micro reprend à son compte (en branque) mot pour mot ceux du PDG Chi en ski (je ne le vous présente plus, ce pompeux pédant…Attention à la contrepèterie)
Bref voilà mon cher Philippe crapule ouverte, ton misérable discours et ta minable diatribe réduite à ce qu’elle est authentiquement : le néant d’étal. Je me doute qu’il y a très peu de chance pour que tu me lises et ce n’est pas plus mal pour la propreté des pages e ce bouquin.
Journaliste tu es ? Je te conseillerais bien de changer de boulot…Mais si je t’imagine boulanger ; j’ai bien peur que tu me dégoûtes à jamais du pain…Or j’adore le pain ! Surtout mon pain quotidien, alors cesse de vouloir avec tes bruits de couloir le retirer de la bouche de mes enfants !
Car quand par ton discours couronnicide tu préconises de raser notre usine, tu oublies juste qu’il y a des êtres humains dedans…


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