Encore quelques salades qui s’effeuillent. Quelques perles qui s’écoutent. Quelques herbes folles poussant sur le terreau de mon cerveau qui partent en fumée sucrée. Un filon félon qui tarit ma bonne mine…
Bulletin pleupleu d’un normand normal, qui n’a pas peur de se mouiller, quoi !
L’eau est précieuse, c’est pourquoi chez nous ; le temps c’est de l’argent ! Dans nos vallées luxuriantes même l’été c’est lit vert !
En effet ! puisque dans ce chapitre 21 nous traitons de la lettre « F » et que lui commence par un « A » de toute façon il n’y a que la police pour croire que l’assassin les attend à une adresse précise pour se faire choper ! Il y a longtemps que l’oiseau s’est envolé…
A bien y regarder, en soulevant la jupe de la société, on découvre le vrai visage de celle-ci ! Alors haut les cœurs ; j’enlève le bas ! car il faut savoir nous regarder les yeux dans les cieux ou dans l’essieu suivant le sexe apposé…
En ces heures dures ou trop souvent seuls les déchets ont la parole, dans l’insulte et la violence, je me présente : chevalier paillard ! Qui m’aime, suive mon panache blanc avant qu’il ne parte en fumée. Je vous propose un peu de gaudriole et gauloiserie ! que les coincés du culte passent leur chemin vers leurs parchemins !
Mon cerveau fait relâche. Malheureusement même au repos et contrairement à une autre partie de mon anatomie, il continue à être actif ! Tant pis ou tant mieux, toujours est-il qu’en cette période de crise, et pour ne pas gâcher, je vous livre ces dernières déjections neuronales…
Chose promise ; chose drue ! Hop ! C’est ma tournée, on s’y remet vite fait ! Allez…avoue…hein que t’aime ça ! Ne fais pas la fine bouche en haut en pinçant de lèvres en bas , tu ressembles à une vierge effarouchée qui se refuse !
Il faut le boire ! mais non ! ce n’est pas une purge ! Enfin, depuis le tant, maintenant vous me connaissez ! Tout va très bien se passer, comme d’habitude. Allongez-vous fermez la bouche et ouvre les yeux, il n’y en a pas pour longtemps.Comme il est copieux, on va se le faire en deux verres !
Et puis vous mendierez temps… nous revoici par bribes de réflexions, en pleine philosophie de comptoir ou souvent content tares. Il est frais qu’à partir du troisième, on a la furieuse impression d’être plusieurs dans notre tête ! Arrêtez de pensez tous en même temps avec mon cerveau, de toute façon je n’ai qu’une bouche !
Me revoilà ! Flirtant entre les gros roberts de Larousse ! pour rétablir la vraie ridée. Alors on embarque pour une petite cargaison de hot définitions, suivez le lent guide languide et n’oubliez la pièce à la sortie ! Et si le monde qui vous entoure est pourri, dites-vous que c’est ici la réalité !