J’aime le calme des cimetières, le seul endroit ou en fin de non recevoir même les cons se taisent. Le silence des allées sans retour, la poésie brut de coffrage des épitaphes qui en quelques lignes de l’humain tentent de résumer une vie entière à défaut d’être totale. Ces quelques mots gravés dans la pierre ou des inconnus s’illustrent sans se la raconter…
Le seul endroit ou sont légitime les mots : A jamais, pour toujours…