Notre littoral est littéralement phagocyté par nos anciens, ces seniors car on ne dit plus « vieux » même si le temps est pluvieux. Observons un instant cette vie après la vie qu’on appelle la retraite sur les bords de notre grands mers salées…
... vue au travers du prisme fantasmagorique et délirant de l’eugénisme à quatre voies dans l’évolution du contre courant discontinu presbyte à tâtons envers le nihilisme simiesque
Bon.
Si vous êtes toujours là, c’est que vous êtes de grands malades !
Alors bon voyage dans ces quelques réflexions que je me suis fait à vous…