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Vortex de l’arrière pensée transcendantale humoristico-philosophique

... vue au travers du prisme fantasmagorique et délirant de l’eugénisme à quatre voies dans l’évolution du contre courant discontinu presbyte à tâtons envers le nihilisme simiesque

Bon.
Si vous êtes toujours là, c’est que vous êtes de grands malades !
Alors bon voyage dans ces quelques réflexions que je me suis fait à vous…

Le con
Pense bête
C’est pourquoi il a une tête de nœud.
*
Attention à ce que les mots ne réveillent des maux !
Telle cette enseigne pour le moins maladroite, Rue aux Juifs :
« Au Low Coast » Que du premier Shoah…
*
Pardonner, c’est de l’alchimie !
C’est le plomb
Reçu dans les tripes en mitraille
Transformé en or
Par le cœur que l’on offre en retour
*
Par étourderie, je me suis cogné !
Tu ne te méfie pas
Et Nœud tu te tuméfies…
*
Pour que l’interprète ne déchante pas
Il faut que le parolier connaisse la musique
Et que le compositeur tienne parole
*
Vous remarquerez, si cela n’est pas trop vous demandez !
Lorsque l’on marche sur de la terre, de la boue, du sable, de l’eau
Du bois, du fer, du bitume, de la moquette, du béton, du pavé, de la pierre…
On ne dit rien !
Par contre, dès qu’on marche dedans
Aussitôt on s’écrie :
Merde !
*
Sortir en boîte :
Facile !
Le plus ardu souvent
C’est d’y entrer !
*
Pour les natifs du taureau :
Débouché à l’arène
*
Marie Antoinette et ses bourreaux :
Des bouchers à la reine…
*
Si sortir une connerie
C’est se moucher du cerveau
Alors ravaler ses paroles
C’est renifler de la bouche ?
*
En fait et très honnêtement
Il ma parait délicat de faire la morale
A ceux qui mangent du chat…
Moi qui par gourmandise ais souvent
Brouter du minou jusqu’à bouffer de la chatte…
Je sais ! Malgré mon QI, c’est un peu cru.
*
Pour avoir un différend avec quelqu’un
Il faut impérativement que ce soit le même
*
Confondant cellules grises
Avec cellules de crise,
Le Con n’a que deux neurones
Qui ne parviennent pas à faire méninge à trois…
*
Le prestige à la longue
Peut être casse couille…
Mais parlons plutôt
Du prestige des presbytes !
*
Etre libre :
C’est ni Dieu ni maître !
Mais aussi,
Ni femme (mari), ni maîtresse (amant)
Donc,
Ni enfants, ni famille
Mais surtout ;
Ni patrons, ni patrie
Et puis se mêlant
Ni amis, ni ennemis !
Bref
Etre libre
C’est être seul !
Enfin libre !
Mais tellement seul…
*
Encore une concierge étranglée !
Tout ça pour tordre le cou à la rumeur…
*
A certaines heures de la nuit
Plaisir d’essence, sans lui faire aumône
Le Bois de Boulogne devient bois de senteur
Bois bandé avec des glands au pied des chênes
Là des vieilles branches qui s’effeuillent
Ici des nœuds qui font la planche habillée
Là une marguerite au ras des pâquerettes
Ici une bûche dressée qui se fait mousser…
Retour à la nature bien urbain
Ou la sève se fait lascive.
*
Le con parle
La bouche pleine
Mais la tête vide
Forcément il fait tâche !
*
Vivre pour posséder
C’est confondre
Etre avec avoir
*
Si tu veux savoir
Qui tu es…
Sois toi-même
Et arrête de t’imiter !
*
Faire l’amour comme un fonctionnaire
C’est remplir une forme alitée…
A la case : Cochons !
Mais rarement en trois exemplaires…
*
Les noces
Entre l’armoire à glace et l’armoire normande
Ont été célébrées par un buffet froid et son buffet froid
Car c’était plus commode au niveau cuisine du terroir caisse
*

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