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Les mystérieuses tribus du lundi matin...

Le monde du travail est une jungle
Il est donc normal d’y croiser plusieurs tribus
A tribut sans épithête que oui ou peut-être que nom…
Dans lesquelles finalement chacun de nous
Peut un instant retrouver ses propres origines…

Commençons par les célèbres « Yaka Faukon » !
Qui délèguent par transfert d’activité leur savoir faire faire…
On pense qu’ils seraient tissu de la tribu des « Komansanmoijarive » mais aucune trace de leur activité ne demeure à la maison…
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De même une tribu voisine, celle des « Yvéronça » de mains qui craignent énormément la mise à pied…aussi pour ne pas mettre les pieds dans le plat ils s’en lavent les mains.
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Les « Cépanou Kilafé » qui cousine avec la tribu des « Cépamoi Célotte ».
Chaque cépamoi se dégage de toute responsabilité en bottant en touche à rien.
Petit à petit en suivant l’évolution naturelle sans qu’il ne paraisse ils sont devenus
Les « Cépahanou Dlefer » en croisant leurs bras avec la tribu des « Takalfer Toimaime »
Ces grands sages donnent du temps au temps en étudiant toute possibilité de ne pas agir.
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Plus à L’Ouest on trouve les adorateurs de la déesse Héra B, la tribu des « Riana »
Grands maîtres de la force d’inertie et nihilistes du beau geste que ce soit ; Battre, Faire, Cirer, voire même Branler ou Foutre pour les plus triviaux…
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Bien cachés on peut découvrir les « Pros Pariens » qui servent de mauvais atout. Leurs origines remontent semble-t-il aux bons ariens…
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Toujours intangibles sur la tangente, les « Onfé -Onfépa Onfé -Onféplu » qui condensent un pied sur l’autre en attendant que ça passe là ou ça casse. Alors ils demandent conseil auprès de leurs frères à rien faire, les « Ondéfé Skiéfé » qui sans se démonter en font leur activité première.
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Grands moralistes et donneurs de leçons, les « Tapas » ! Cet ordre rigoriste se départage en plusieurs obédiences, les Tapaté » tes gants, tes lunettes, tes chaussures de sécurité, attachés qu’ils sont à l’objet culte. Puis les « Tapami » ta ceinture, les « Tapapri » les patins, tes médicaments, et les « Tapafé » comme il faut, ligotés au règlement qui si tu persistes dans ton erreur, te traduisent devant le grand conseil des « Torépadu » !
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Une autre tribu, celle des invisibles « Chuipala » pour le moment, injoignables et qui utilisent à la place de leur voix dans le téléphone un robot musical qui te fait patienter le restant de la journée. Leurs cousins « Jépaltan » pour l’instant, complètent le tableau noir dans leur bureau marqué OQP…
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Viennent ensuite ceux qui savent tout des autres à leur insu, les « Cépapourkri Tikémé » qui prédisent du mal de toi pour ton bien… Et ne cherchent qu’à arranger tes affaires en t’arrangeant.
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On trouve au ras de la moquette, les serviles vers de terre qui quêtent l’avancement en reculant, les « Chefouichef Bienchef Chefchef » qui du chef opinent en le branlant…
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Plus difficiles à côtoyer tant leurs temps est décompté parmi nous, les « Tavuleur » et leurs deux sous familles logées à l’essai allée C, les « C fermé » et les « C Trotar » te susurrant avec mépris : si vous n’êtes pas manchot, revenez de mains…
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Beaucoup plus courtois avec leur soif de faire connaître leur savoir erroné, les « Pourinfo » qui sont déterminés à faire prendre l’air aux informations éventées…
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Plus au Nord de notre boussole, voici les savants de marcel dont la préscience défie les lois du temps, les « Jlavédi » petits fils de plus des « Jlesavai », eux qui prédisent avec autorité le passé présent avec la certitude du futur imparfait de l’indicatif…
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Toujours à la recherche du tant perdu, les « Outami » en gaie quête d’un outil égaré par les autres éperdu pour soi…tribu issue des « Oukilé » maudits et fuis par les moyens concrets de réaliser un travail en devenir…
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La plus grande des tribus de la planète dont j’avoue faire partie prenante, les « Jallel » qui anticipent avec retard un mouvement écoulé dans l’action à venir déjà passée. On distingue sans lunettes diverses branches, les « Jallel fer » dans le mouvement inachevé,
les « Jallel Yallé » dans le lieu sans déplacement d’honoraire, les « Jallel Dire » qui l’avaient sur le bout de la langue !
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Plus haut dans les sphères de ceux qui peuvent si ils veulent, les « Cépalakestion » qui parfois ont faim de non recevoir et te renvoient avec leur réponse pilote : je mens lave l’humain !
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Pour finir nous trouvons les dangereux « Touchatou Monga » qui bien que tout chaton sont d’irrépressibles « trombe la mort ». Ils sont en guerre permanente avec les frileux « Toucharien Ptikon » qui par trouille d’un travail de cochons doutent d’autres truies…
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