Celui qui furtif s’adapte à tous les orifices, discrètement se glisse entre pelisse secrète et peau lisse secousse afin d’ouïr et de quérir les confidences abandonnées entre une oreille et un oreiller.
Bon. Déjà le titre ne veut rien dire, voilà qui promet. Sinon chez vous, ça va depuis la dernière fois ? Pour ceux qui ont séché, je rappelle que nous sommes toujours la lettre « M » qui est pour le moins copieuse, mais après tout, quand on « M » on ne compte pas…
Pas si simple de rire en rime ? C’est pourtant possible au passé simple lorsque nous rimes. Alors le temps d’une stance, un instant de distance, doublons le poète pour faire pouêt ! pouêt !
Aphorismes et périls ! Aphorismes à faux rythme qui assènent leur vérité péremptoire en perle de comptoir. Paradoxes sales en parade dorsale exposant nos contradictions sans contrat de diction.
Bon, oui c’est vrai, je parle tout seul. Je soliloque à voix haute, je réfléchis oralement. Le plus gênant c’est de se promener devant tout le monde le cerveau à poil ! Cela dit, vu la gueule du monde, il peut commencer à balayer devant sa porte…
Soit 2871km. C’est beaucoup et c’est pneu. Mais dans tous les cas de figure, géométriques ou acrobatiques, cela n’a aucun rapport direct ou sexuel avec notre propos, voire notre propre peau. Aussi, passons directement aux choses sérieuses histoires d’éviter des trucs séreux.
L’intitulé du chapitre peut sembler quelque pneu nébuleux pour les nez bulleux : qu’ils se mouchent ! Disons que ceci concerne Adriana et consternent les autres. Mais revenons à notre lexique, arrête, tu m’excites ! Et poursuivons notre exploration de la lettre « M » une fois le mot dit.
Pour rappel aux retardataires munis d’un mot d’excuse (les autres devront se présenter directement chez la directrice à la salle des cuirs) nous sommes péniblement arrivés à la lettre « M » qui est assez dense (de saint Guy) mais comme chacun sait quand il l’a appris : quand on « M » on ne compte pas.
Je ne vais pas encore une fois vous faire l’article, vous connaissez le verbe sans besoin d’un complément direct d’information. Ici, chaque mot est pris au pied de la lettre et torturé jusqu’à ce qu’il révèle sa vérité ! C’est barbare je sais, d’où la présence de certains barbarismes dans ce texte…
Oui. J’irai au bout. Pourquoi ? Parce que ! Toute chose commencée se doit d’être finie…mais si certains sont déjà finis avant même d’être commencés. Le dictionnaire ne nous dit pas tout, pâteux ou pataud, c’est patent. Alors tel le missionnaire je me mets en position de vous éclaircir la voie des mots.