La démocratie est une vieille mère maquerelle qui a transformée la République en raie publique de vile salope en se torchant les fesses dans sa robe de blanc utopique après avoir violé tous ses espoirs et ses principes! Ce faisant elle nous a tous transformé en serviles putains pendant que l’argent amassé enrichit la cause des souteneurs en chef de réseau : Ca s’appelle le CAPITALISME.
Ne nous plaignons pas puisque l’Occident tout puissant possède encore des maisons closes de luxe appelées usines ou fabriques, cela dit la pute qui se rebiffe ou qui se plaint est envoyée en punition se faire prendre à la chaîne dans des bouges d’Asie ou d’Afrique pour une poignée de riz : cela s’appelle la DELOCALISATION
De même les malheureux prostitués de tous sexe et de toute nationalité du Tiers monde d’Etat ne rêvent que de se faire entuber dans un claque clinquant appartenant au G 8.
Les présidents ne sont que de vulgaires maquereaux de banlieue rabatteurs de passage, juste bon à recompter les liasses de biftons du parrain Capitalo et de veiller à ce que ses boutiques tournent rond. Si la monnaie ne rentre pas assez vite, le micheton essore avec les impôts et si ça râle, il lâche sur nous ses clébards en uniformes. Ca s’appelle GOUVERNER LA NATION qui a chaque coup de barre, le prend dans le cul !
Tant qu’il y aura de la misère et de la pauvreté à exploiter, ce fion de commerce fonctionnera. C’est bien pourquoi le Capitalisme n’a aucun intérêt par le biais de sa pouffe ; la démocratie, a répandre :égalité et justice en droit et en richesse. Quant à ceux qui douterait de la légitimité du système ; il reste la dictature qui finalement n’est que la caricature extrême de la démocratie et n’est là que pour servir de contre-exemple en faisant par la terreur rentrer le troupeau asservi dans le rang d’oignon à planter.
Paradoxalement la république n’aime pas que son cheptel fasse le trottoir. Car au lieu de lui rapporter de la fraîche en vendant son culte, elle lui tient tête en faisant la queue pour quémander un meilleur pourcentage sur chaque passe… Ca s’appelle une MANIFESTATION mais comme il y a beaucoup de putes qui aiment ce qu’elles font et d’autres qui vont dénoncer les copines revendicatives au souteneur, il n’y a moins de monde qui manifeste que de monde qui manie fesse…
Autre paradoxe de la république, un instant de notre vie et plusieurs fois par joug ; nous sommes tous alternativement pute et client ; cela s’appelle la CONSOMMATION liée au pouvoir des chattes…
Encore un paradoxe : Le seul symbole qui n’a rien de sexuel dans ce profil de profit ; s’appelle la Bourse ! Elle qui permet de transformer l’argent en or…Sauf qu’ici tous est virtuel ! Les putes, les passes, les bordels ! les traders pratiquent la masturbation intensive en se faisant l’amour virtuel, alors évidemment un moment arrive ou faute de client authentique, tout ce casse la gueule, ça s’appelle la CRISE ! Et les autres esclaves sont obligés de trimer quatre fois plus pour gagner deux fois moins en étant ponctionnés huit fois plus afin d’éponger la perte sèche. Encore une fois ce sont toujours les mêmes qui se font sodomiser quand le Caca rentre…
Sinon, le parrain n’aime pas l’argent sale…alors il le blanchit afin qu’il soit propre à être réinjecté dans le circuit. La blanchisserie s’appelle un PARADIS FISCAL et la machine à laver une BANQUE.
Encore une chose, les clients de luxe de cette exploitation de l’homme par le loup, sont les députes et les arrière-trains de sénateurs qui habitent…la chambre ! C’est tout dire.
Ces gens là sont sensés améliorer la condition d’exploitation des gagneuses et autres vains culs, mais comme ils sont vendus au parrain ; une fois élus par la masses prostituée, ils en abusent copieusement à leur tour. Ca s’appelle les ELECTIONS.
A force d’être « qu’au cul », on se fait faire un enfant dans le dos…
Mais quel est le rêve de certaines catins de boulevard et autres gigolos de rue ?
Devenir maquereau à leur tour ! Piétiner la masse laborieuses de laquelle ils viennent de s’extirper…Ca s’appelle la PROMOTION SOCIALE (avec ou sans canapé)
Conclusion…
On vit dans une société de putes et de maquereaux…
C’est pourquoi si j’exècre tant les souteneurs ; j’ai toujours eu une tendresse particulière pour les péripatéticiennes !