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La vérité sagement !



Trocétro ! Cétacé !
C’est insupportable, de ping pong comme de salle à manger !
Irritant laveur et Barbara stressant !
Grotesque en gros texte et ridicule de basse fosse !
Bref pour faire Kurt ; il faut que cela cesse c’est sûr !


Arrêtons-nous un instant de tourner autour du pot ; fut-il d’échappement pour fuir la réalité ou de yaourt pour mieux pédaler dedans !
Car nous tous autant que nous sommes, d’Autain ou de la Somme…Oui ! Même toi là ! Qui te cache derrière les autres se bousculant pour mieux me lire. Donc, Voutoi Moinou ; savons ! A force scierie ceux qui se savent honnêtes.
Même selle essieu qui marchent dedans depuis fort longtemps ont mis le doigt dessus du voyage, ce qui avouons-le requiert autant de souplesse que ceux qui après avoir marcher dessus déçus ont mis le doigt dedans…
Je pense pilote, et vous en conviendrez avec mois de mai, y a pas de Mais ! Il est grand angle que ceux qui se cachent derrière leur petit doigt dans l’oreille crient pouce s’ils ne veulent veules, être mis à l’index comme il se doit d’honneur. Car pour le dire plus crûment, les saints en quête d’auréole doivent arrêter de se pisser dessus ! Suis-je clair de notre air ?
Regardons tel l’heureux gardon ensemble et en sable la vérité toute nulle, voyons-là en fesse pour ceux qui sont derrière ! On ne peut pas nier à salades éternellement la raie alitée à l’hôtel du cul tourné. Comprenez-moi bien par la taille ! Je ne suis pas Issy des moulinets pour accabler quiconque car je ne le connais absolument pas. Surtout si c’est en même temps quelqu’un ou tout le monde séparément.
Je m’adresse ni n’agresse verte, personne en partie culière, car chaque endive indue démarre chaque semaine en lundi vidé.
Ceci dit Brahim, foin de digression assurée, fion de divagation prématurée, évitons le « hors sujet » comme dit le malheureux qui copule à côté du trou… Ne nous égaronrons pas de notre vertueux chemin de crôaa comme dit le chat au corbeau.
Revenons donc à nos moutons de panne urgente, comme dit le loup garou déguisé en quasimodo. Car en effet d’optique ou de manche, de quoi est-il question vraiment ? N’est-ce pas ? Hein ? Soyons une seconde honnêtes et balayons notre trottoir car plus c’est propre c’est net. Affrontons de pelote le réel et ne fuyons pas tel le robinet lâche du joint qui goutte du nez. D’ailleurs, qui titille le robinet ? D’accord ? Bon ! Car enfin quand même !
Les yeux dans les cieux comme on dit à la basilique de Lizieux ou il y a aussi du thym et du laurier ; sachons éviter la poudre d’escopette en sachet qui cache la forêt ! Puisqu’il n’est incontinent de salut dans la fuite comme le confirme le plombier disant bonjour.
Nonobstant, et quand nonob se tend faut pas rester devant !
La chose est indubitable en trois mots comme un compromis en deux, puisque compromis chose due. Aussi contrairement aux péteux amateurs de gaz pas chaud qui sushi tsu ; ne laissons pas les fesses faire sous Playtex que c’est l’effet de sphère car c’est le pire moyeu de finir en trous du cul cons centrés. Attention ! La sodomie même si c’est assaut d’amis conduit à se faire pénétrer par l’axe du mâle…
Mêmes vous mesdames ; soyez des hommes ! Après toux dans un mouchoir, il n’y a pas de ma^le à sphère du bien sur notre boule de planète. Haut les cœurs ! Comme on dit à la belette coincée. Il faut saisir l’escargot par les cornes ! Vaincre les cons et les convaincre ! Ecarter les fourberies d’escarpin et fouler du mocassin les maux cassants !
C’est pourquoi j’ai décidé seul d’un commun accord avec moi-même de vous entretenir par les deux bouts, de ce qui nous obsède et nous hante, nous turlupine en un mot comme en deux et comment donc, nous fâche et nous ennuie comme de jour.
Reconnaissez m’en le courage au désespoir, l’impertinence en soir, la liberté de parole et musique, l’obstination à appeler un chat de gorge une chatte entre les jambes ! Oh ça va! Ne faites pas la fine mouche ! Pas avec moi ! Je vous connais que trop bien ! Oubliez votre serment d’hypocrite et lâchez-vous ! (enfin, attendrez encore un peu quand même, on nous regarde…) vous pouvez sourire ou soupir, vous assoupir ou vous assouplir. Me moquer d’un hoquet sur la moquette, rire sous cape ou frire une carpe ! Il n’empêche melba, que je suis et je demeure le sol et l’unique contraire au sel de l’eunuque, à oser médire Touo ce que vouzotres dépensez Touba ! Oh Bah…murmurent contre les murs mûrs les indécis heureux. Je rétorque et madame : Que nenni non point du tout !
Rende-moi justice faute de justesse ; depuis que nounou parlons de nurse à gros nénés, ouvertement ou vertement ; je sens bien que vous vous sentez mieux, en meilleure santé, comme soulagés telle une grand-mère ivre morte soule âgée. Un poids de centaure vient de vous être ôté au café. Comme on dit au foutre boule : si ça ne gagne pas, ça débarrasse !
Je vous confirme ce que j’affirmai auparavant chinois ; ça va tellement mieux en le disant ! Et si c’est encore trop petit, essayez le douze ans.
Voilà.
Tout est dit. Comme aime à répéter dans une culotte de soi, le fan de Mitchell possédant l’intégral de ses œuvres. Je suis imberbe cil heureux d’avoir pute éclairer les lents ternes afin qu’on ne les confondent plus avec des vessies. Puisse cet essai être transformé et vous guider dans ce monde confus suisse comme disait Confucius. Précieux dépités ? Vous déconsidérez ceci comme un précis piteux ? Comme dit le mort : je m’inscris en faux. Et comme pratique le scatophage partageur ; jetant merde…
Pour preuve de ma bonne foi pour toute ; relisez ce texte échoppe tout haut calmement et vous en comprendrez de l’ouie la finesse.
Pour conclure je rappellerai que si toutes les vérités sont bonnes à dire, toutes les Valérie ne sont pas bonnes à tirer… et pour mieux me finir j’offre à mes détracteurs sans remorques cette remarque du poéte méconnu hongriote néonain balthazar Poffkon : « Casse-toi ! »
A laquelle je répond sur ma branche de lune nette : « Nique ta lope ! »
A bonne en tandem, samu !

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