Petite digression en toute discrétion sur la vie sexuelle des monstres anciens qui régnèrent sur notre planète un instant avant d’être repeint en orange et de s’appeler Casimir comme ton voisin de palier !
Ce sujet passionnant et pas honnête ayant déjà été traité sur le Net, vous connaissez donc l’intellectuel de la bande ; le DIPLOME-DOCUS que l’on reconnaît aisément sur les photos de l’époque à ses dix plumes dans le cul. Facile à chasser car dès qu’il a peur, il se met la tête dans le cus. A la saison des amours cartilagineux il est donc la proie sans cible du TIRE-ANNEAU SŒUR qui est mi mâle mi bien et dont on conserve aujourd’hui les os en bocaux au musée homme de Rio Bravo. On peut l’identifier grâce à sa blue raie qu’il utilise lors de la parade sexuelle pour ensorceler sa gaie proie. Dos à dos ils se font dur anus par les anneaux de sa turne une fois la jupe à terre. Au moment de l’orgasme coïtal il perd sa protection épidermique dû à cette étreinte mâle mal éteinte et se retrouve laid écaillé.
Mais revenons à des spécimens plus connus tel le CHIBRODACTYLE et son con paire de gesticules le COUILLANODON qui est à l’origine de la pipe inversée afin que sa soie sente neuf. L’un n’est que bourses soufflures pendant que l’autre tissu issu d’humus érectus n’est que fibre haute trique développant une queue sans fin que le premier s’enfile d’attente. Plus tard au cours de l’évolution de l’espèce d’emmanché, l’un donnera vie au Pitre Boules et autre Boules dégue, tandis que l’autre sera à l’origine du Giga bit…
Parlons un peu des femelles après ces feus mâles.
Ainsi par exemple, la CLITOSAURUS LINGUE, qui ressemble s’assemble, à un papillon gustatif ou à une papillote qu’on déguste hâtif. Cet anifemelle de quoi je me mêle est très peu connu des magazines à scandales car ces derniers n’existaient pas encore. Elle serait à l’origine des vastes mouvements de langues dans le bassin afro-disiaque, des lapes denses puisant à la source, et des lapes suces dans la bouche d’hôte truie. Valveuvulve mi herbivosaure à gazon mi carnivorus à menthe rugilieuse, elle dévorus ses amants reptiliens qui serpentent teints tel le GLANDUNITODON reconnaissable à sa turgescence violine unique en tunique et qui n’adore rien tant que de se faire lutiner la muqueuse rose moqueuse sanglante avant de se faire boufferla touffe crétine.
Mais déjà pointe à l’horizontale verticalité inversée, le VERGEOSAURE COUILLU de l’embranchement des Pafopodes par la deuxième à droite après la boulangerie. Sa spécialité ; Avoir une micro bitte à la place du disque dur pour pouvoir prendre son pied dans la main. Cousin péteur du BITTANODON POILU par croisement de départementales il est le moignon manquant dans la chaîne alimentaire de vélo. Ces ineptes hétéros tactiles, rigiditus cactus, s’ébranlent du mât mou et ne se déplacent qu’en bande décalottée en poussant de grands cris de poils pubiens qui épilent de face.
Ceci nous entraîne tout naturellement au fond des bois jusqu’au corps de la VAGINOVULVANODON à grandes à lèvres, replié dans sa brousse intime en brosse. Elle vit sans vît, dans sa grotte secrète, humide et chaude puisqu’elle sécrète, en espérant échapper à son buccal prédateur ; le BROUTOSAURE ! Toute dent dedans et langue dehors qui s’en pourlèche les bobines en salivant de la solive. Dès que sa colonne verte s’ébranle, le sauvage accouplement de sa botte ascète a lieue, inexoraluctablement ! Donnant conne naissance des années plumard à un petit mamisphère pédonculé toi-même, qui deviendra ; le TOUCHEDACTYLE RECTALOREPTILIEN plus communément connu sous le nom de petit TROUDUCUS ! Une des espèces les plus répandues au 21ème siècle. Mignon quand il est serré mais puant une fois dilaté pour faire fuir ses ennemis.
Dans la frange fangeuse des suceurs à succès, LINGUANODON bifindus actif qui oscille entre l’hétérodactyle et l’homos à Pinces.
Dans les airs de rien, survole la faune muette ; la MOUETECHANDON à Bouchon qui bulle au dessus d’un STEAKOZHEURRUS saignant juste saisi à point une fois dépouillé de ses poils de moumouth.
Oui mes ami(e)s en ce temps là on savait s’amuser sans musée. On s’emmanche sans manche, on se trompe sans trompe, on se laisse on se prend, on se lasse et on se délaisse. Les poils convolent dans les plumes, les écailles se font faire cuir en off. On se frotte dans la flotte.
Mais ne vous moquez pas avec votre sale petit sourire en coin qui m’énerve !!!
Car avec les ailes, leurs griffes, leurs groins, leurs pattes, leur mufle, leurs crocs mignons aussi laids soient-ils…
Ce sont nos ancêtres !
Signé :
Professeur Dino Zorus, désagrégé de la bonne chaire de la faculté d’en avoir encore qui la sort bonne.