Ne perdons pas nos bonnes habitude désormais bien ancrées comme encrées, de déformer les mots afin de leur redonner leur sens originel ou par défaut original. Vous êtes toujours avec moi ? Alors en piste pour une vingtaine de pages de dictionnaire de bœuf !
Un peu de baume sur votre petit cœur meurtri…Un peu de douceur suave et chaleureuse dans ce monde immonde de brutes épaisses…quelques mots de tendresse espiègle et de poésie mutine comme un léger baiser volé sur de douces lèvres complices…
Extrait du bouquin que je suis en train d’écrire sur l’aventure de la raffinerie de Petit Couronne depuis on abandon par Pétroplus. Ce vendredi 13 avril, je suis victime d’un audit…je ne supporte pas ce défilé de faux cultes authentiquement cons !
Apostoliques du nœud pape, œcuméniques au culte maniaque ! pour vendre acheter, louer à jeter, prêter interpréter, chercher trouver ! Au bon coin coin ou déshini bay ! tout se consomme en voyelle ! Tout se consume envoyez !
Ce jour est aux billes de clown dont je me targue de faire partie, ce que le 1er janvier est aux gueules de bois (auxquelles il m’arrive quelque fois d’appartenir). Le jour sacré des farceurs et de la déconne à plein tube, le jour béni des poissons dans le dos des pêcheurs, le jour J des fausses infos et authentiques canulars ! Bref, pour les bouffons de mon espèce, c’est comme une deuxième date anniversaire. Le jour ou je suis venu à la vie de fariboles, de fadaises et autres carambouilles !
Mensonge éhonté ! Nicolas n’a jamais dit ça ! Mon honnêteté proverbiale m’oblige à restaurer la vérité. C’est pourquoi je me suis procuré la totalité de son dernier discours afin que vous constatiez par vous-même. T’inquiétes pas Nico ! tant que les cons seront majoritaires dans ce pays ; tu seras toujours le roi !
allez ! Histoire de rigoler un peu et comme au niveau de notre raffinerie de petit couronne on attend toujours des repreneurs d'otages, une petite chanson délire chanté par le consortium de la chorale du CDW !
La bête d’acier
Sur le béton s’est jetée
Tête baissée, tête broyée
Blessée fracassée elle a tué
Nous sommes dans le seizième (siècle et arrondissement) ou madame Bettanjardin et madame Connancour discutent sur le trottoir pour bien faire. Ces respectables momies gateau ont 198 ans à elles deux et mais hélas pour elles deux fois moins en milliards de rente…Que voulez-vous, les temps sont durs pour tout le monde. Mais approchons-nous un peu pour les écouter :
Voilà donc le « présidat candident » lumière du tout Paris qui vient faire lampe au chevet de notre raffinerie ! A son tour de passer (cela s’appelle un tour de passe, passe). Mais cela n’est que la version officielle, car en vérité et en exclusivité la vraie raison de sa venue (de mi-lot) c’est la volonté de me rencontrer en tête à queue (debout et pied nu, il m’arrive sous la ceinture) pour débriefer le texte que j’ai précédemment commis (de la république) sur son immodeste personne. Je vous relate cette rencontre mais gardez cela pour vous, que ça reste entre nous !