En voici quelques uns des miens livrés en pâture. Ces grandes envolées lyriques tragi-comiques ou l’on se sent irrésistible et plus léger que l’air ! …Pour finalement soudain s’écraser lamentablement comme une…merde alors en crash cash sur la terre ferme ! Sous l’œil goguenard et faussement compatissant de témoins heureux de notre malheur…
Alors régalez-vous, c’est ma tournée ! je vous les certifie tous AUTHENTIQUES !
Petite visite au débotté (pour les pinceaux) de l’univers volatile (pour les plumes) de quelques artistes de la peinture et de la littérature qui ont la galerie à musée ! Piqûre de rappel en descente dans notre mémoire sélective de quelques auteurs de feuilles et toiles immortelles…
NON !
Non, non !
Nonon et Non !
Tout va trop loin !
ca dépasse les borgnes !
C’est top dingue cette fois !
C’est complètement fou flou !
C’est juste du délire et puis c’est tout !
Non !
Cherchez pas ! Y en a pas !
ne la réclamez plus, n'essayez plus de vous la faire car
En effet de manche, comme vous aurez pu le remarquer à vos dépens denses
Il n’ y a pas de justice, puisque la justice n’existe pas !
S’LOVE QUI PEUT…
Le slow
Ce n’est plus de la danse
C’est déjà de l’amour
Sur pied, tout habillé
Alors que les sens partent en reconnaissance
L’un contre l’autre, mais surtout plutôt
L’un avec l’autre, l’un dans l’autre !
Le slow
Si elle n’était qu’une invention d’un marsouin de Vénus à peine sorti de sa thurne ou des jupes peu terre de la Mère Cure et son chien Pluton !
Si cette boule n’était qu’une illusion de l’univers, un fantasme d’extra terrestre en mal de sensations fortes !
Car il s’avère que je n’écris que de la fiente en tube par étron commun !
Par pitié pendant qu’il en est encore temps, ôtez vite vos yeux de mes piteux écrits, de ma pitoyable prose et mes navrantes narrations ! Ecartez votre route de ma sinistre littérature !
petit bouquet de flore intestine prônant l'ouverture sur les autres à contrario du repli sur soi-même...
Aimez-vous les uns dans les autres !!!
Histoire d’Eléonore banale et Paul d’un ennui mortel…
Récit authentique tiré à quatre épingles de faits réels n’ayant jamais existés jusqu’à preuve du contraire devant huissier, le cache nez de la poste faisant foi…
Quelques quatrains de banlieue qui en grandes lignes vous feront voyager dans mon univers. Un peu de peinture luronne jetée par attouchements légers sur ce monde gris qui s’aigrit. Comme dirait ma palette de port ; Faut pas gouacher ! Alors ne faisons pas tâche…