petites bulles de champagne à siroter à tout heure. l'abus est recommandé et si ces haikus ne font pas 18 pieds de long à vue de nez, ce n'est qu'ultime pied de nez !
Jean-Pierre qui aurait pu s’appeler Pierre-Jean a décidé de jouer sa vie à pile ou face
Prêt à subir les caprices d’une pièce de monnaie anonyme lancée en l’air pour retomber sur le côté qu’elle seule aura choisi…
C’était un mercredi après midi paisible et ensoleillé au jardin des Plantes. Une journée banale qui fleurait bon le bonheur simple et la joie de vivre sans nuage.
C’était un de ces petits matins gris jaune pisseux, comme si les Dieux paillards et païens soignaient leur gueule de bois de la veille en urinant copieusement sur leurs créations terrestres.
Allez, viens ! C’est bref et violent comme un orage d’été. C’est court toujours, même si ça ne rime à rien. C’est aérien et renversant comme le baiser furtif d’un lampadaire sur la joue offerte du distrait qui regarde derrière lui le troublant jupon qu’il vient de croiser en oubliant de prendre en compte l’obstacle psychorigide !
Voici quelques fables affables et autres contes en débours dont je vous propose les titres. Quoi de mieux qu’une bonne lecture pendant les vacances, hein ? La plage, la montagne…ouais, bien sûr… ! En tous cas, gens de ma fontaine ; abreuvez-vous !
C’était beau et émouvant comme un arc-en-ciel dont la palette aurait été dupliquée par cent, par mille. Pour une fois toutes les couleurs du temps et leurs demi teintes de saison étaient représentées. Pour une fois, nous étions tous entièrement d’accord pour être complètement contre !
Donc, acte. Une manifestation de mécontentement et de colère dans la joie et la bonne humeur. Une manifestive, quoi !
Le rythme s’accélère dans ma tête au furet à démesure que mon corps ralentit au raz des lentilles. Et tout se mélange ! Ce réchauffement de clématite commence à me braiser les synapses ! Du coucou, tout se mélange ! La preuve, je l’avais déjà dis juste avant !
C’était une fin de nuit qui ressemblait fort au petit matin. Avec quelques amis nous venions de sacrifier nos palais à la dégustation de divers breuvages hautement alcoolisés. Plein d’entrain, nous décidâmes à l’unanimité moins ceux qui avaient roulé sous la table, de partir à la découverte du monde animal afin de constater la mutation subie par la faune par la cause du réchauffement climatique. On a des idées curieuses quand on a 5 grammes d’alcool circulant dans le sang de chaque bras…
L’uppercut mal lu percute la pointe du menton une seconde offerte. Ca fait Flash, puis tilt ! Game over ! Plus de son, plus d’images !