Aphorismes et périls ! Aphorismes à faux rythme qui assènent leur vérité péremptoire en perle de comptoir. Paradoxes sales en parade dorsale exposant nos contradictions sans contrat de diction.
J'adore les paradoxes !
De la règle sage, ils sont l'effrontée exception !
Là ou le monde affiche ses certitudes, ils sont anachroniques du dérisoire, illusions réussie de nos illusions perdues !
encore et en cor ! Ils font passer nos certitudes pour des servitudes !transforment le "tout à fait" en pas du tout ! le "jamais" en parfois ! Ils confirment juste qu'il n' y a pas d'endroit sans envers !
des brèves sans pépins, des courtes en valdingue, des messages en massage de propos en propre peau ! C'est fou ! Et si c'est parfois léger, c'est pour rester en surface sans perdre pied !
Petite ballade le long des criques d'Armorique au pays ou la mer n'en finit plus de parler alors que la Terre a fini de se taire...
A force de descendre le calendrier, on finit par décembre ! Dernier de sa classe, une fois sur son trente et un, c'est lui qui ouvre la porte au premier !
C’est quand on croit en avoir finit…Que ça recommence de plus belle ! Aussi, revoilà la purge dominique cale du vrai sens des mots maux. Le Vocabulaire patibulaire peut enfin s’écrire à l’encre sympathique au lieu de s’aigrir au vinaigre de rate au court bouillon !
Il se trouve que les proverbes sont mal mariés. Leur bon sens finit par un non-sens , c’est pourquoi n’égouttant que mon courage plutôt que mon mouchoir trempé de sueur, j’ai décidé en cette fin juillet de rétablir leur véritable contre sens. Ne me remerciez pas, c’était ça ou le repassage et les courses !
J’te jure ! Authentique en autant de tics ! Tout ce que je te dis ; c’est la pure vérité et si ça l’est pas, c’est là l’erreur parce que ça mériterait de lettre ! Alors lis-le et cours le répéter à personne !
Ne vous retournez pas, vous êtes suivi !
Et devant ? Aussi !
A droite ? Pareil !
A gauche ? Idem itou !
Dessous ? Encore !
Dessus ? Toujours !
Essuie-lui kidi quillé ! Parce que faudrait pas croire que j’écris au hasard ! Dans tout ce qui vous arrive ici, vous y êtes grandement pour quelque chose ! Alors bon, parfois c’est le voisin…mais n’oubliez jamais j’ai dis JAMAIS ! Que pour votre voisin, le voisin…C’est vous !
Voila un texte écrit il y a quelques années qui me tient particulièrement à coeur à une époque ou les enfants paient cash les conneries des adultes...
c'est le retour du grand manitou de la route ! Celui qui guide le pas de vos roues, qui vous conseille en itinéraire et qui vous "bis" à toute heure dans toutes les positions !
Ceci n'est que boutade , bien entendu ! Juste une occasion en lard rond de moquer une de nos traditions les mieux ancrées dans la culture rabelaisienne : la célébration du jour de l'an neuf (même en 2010)
A table ! Nom de Zeus !
en pleine gaie quête d'identité nationale, j'amène ma petite pierre à l'édifice, tel un caillou dans la chose sûre...Besson ! Pétain coup t'es tout pâle !On dirait un petit Vichy !
Histoire d’Eléonore banale et Paul d’un ennui mortel…
Récit authentique tiré à quatre épingles de faits réels n’ayant jamais existés jusqu’à preuve du contraire devant huissier, le cache nez de la poste faisant foi…
S’LOVE QUI PEUT…
Le slow
Ce n’est plus de la danse
C’est déjà de l’amour
Sur pied, tout habillé
Alors que les sens partent en reconnaissance
L’un contre l’autre, mais surtout plutôt
L’un avec l’autre, l’un dans l’autre !
Le slow
J’aime le calme des cimetières, le seul endroit ou en fin de non recevoir même les cons se taisent. Le silence des allées sans retour, la poésie brut de coffrage des épitaphes qui en quelques lignes de l’humain tentent de résumer une vie entière à défaut d’être totale. Ces quelques mots gravés dans la pierre ou des inconnus s’illustrent sans se la raconter…
Le seul endroit ou sont légitime les mots : A jamais, pour toujours…
En voici quelques uns des miens livrés en pâture. Ces grandes envolées lyriques tragi-comiques ou l’on se sent irrésistible et plus léger que l’air ! …Pour finalement soudain s’écraser lamentablement comme une…merde alors en crash cash sur la terre ferme ! Sous l’œil goguenard et faussement compatissant de témoins heureux de notre malheur…
Alors régalez-vous, c’est ma tournée ! je vous les certifie tous AUTHENTIQUES !
Au contraire, évidemment certainement pas !
Parce qu’à force de tourner les talons à l’évidence vous vous retrouvez face à son contraire de dos ! Aussi, laissez-moi vous expliquer à la carte par le menu et vous comprendrez que ce qui saute aux yeux n’est pas toujours une paire de lunettes…
L’uppercut mal lu percute la pointe du menton une seconde offerte. Ca fait Flash, puis tilt ! Game over ! Plus de son, plus d’images !
Tiens ! Prends tout ! Vas-y ! Là ! Comme ça ! Hummm ! C’est bon, hein !
Allez, profite ! Régale-toi, c’est cadeau ! Buffet à volonté, crédit illimité !
ce n'est pas dépasser l'autre
pour une vulgaire liasse de billets
c'est gagner sur soi-même
en se surpassant gratuitement
pour la beauté d'un geste
et non pour la tire-lire qu'il décroche
C’était beau et émouvant comme un arc-en-ciel dont la palette aurait été dupliquée par cent, par mille. Pour une fois toutes les couleurs du temps et leurs demi teintes de saison étaient représentées. Pour une fois, nous étions tous entièrement d’accord pour être complètement contre !
Donc, acte. Une manifestation de mécontentement et de colère dans la joie et la bonne humeur. Une manifestive, quoi !
Voici quelques fables affables et autres contes en débours dont je vous propose les titres. Quoi de mieux qu’une bonne lecture pendant les vacances, hein ? La plage, la montagne…ouais, bien sûr… ! En tous cas, gens de ma fontaine ; abreuvez-vous !
Le mariage impossible, l'union interdite !
Tabous mis bout à bout, sacrilèges de sacrées lèches !
Anus Deï et Phallus béni, Opus Cunnilingus et Corpus Haï !
Faut-il futile expier après avoir pris sexe pied ? Voilà un thème en anale ou je frôle l’anathème ! Par tous les seins, me voilà en corps damné !
Oulah ! ou la ?
J’ouïs déjà les cris gris des prudes hommes et les « quoi semant » des grenouilles de bénitiers vont me voler dans les plumes ou me violer dans les poils ! Quelle vulgarité !
Pourtant il y avait pire..Fast Food !...mais je n’ai pas osé.
Aussi, voila de la pensée compensée, à peine éjaculée du neurone, prémachée de la bouche à oreille, prédigérée de l’estomac d’un destin grêle, préchée par l’anus horribilus
Mangez chaud, c’est servi !
Non ! Ne cherchez pas ! No sexe ici ! Ne vous fiez pas au titre racoleur d’affiche, si vous continuez votre visite vous ne trouverez que des pensées soporifiques et des élucubrations échevelées. Rien qui ne distende une braguette ou n’humidifie une culotte ! Car afin de soigner les coincés du culte et autres constipés notoires, j’ai décidé d’être chiant !
Jean-Pierre qui aurait pu s’appeler Pierre-Jean a décidé de jouer sa vie à pile ou face
Prêt à subir les caprices d’une pièce de monnaie anonyme lancée en l’air pour retomber sur le côté qu’elle seule aura choisi…
Surtout ceux qui sont en situation météorologique illégale ! Ils viennent de partout, du Nord-Sud ou de L’Est-Ouest un coup de haut en bas un autre de droite à gauche pour finir par s’éclater sur nous les normands ! C’est vrai quoi ! Y en a marre, ici c’est pas l’arche de nuée ! ils viennent faire quoi ces troupeaux de moutons, ces caravanes de nues intégrales ?