C’est qui ? C’est Quoi ? C’est toi et c’est moi donc c’est nous ! Mais c’est pas eux…Ca non ! C’est qui eux ? Les autres…Nous nous sommes les humbles. Et à quoi ça sert le Toimoinou ? A jouer ! Pardi ! Et à quoi s’il vous plaît ? Aux Dominos évidemment! Mais oui ! En d’autres temps nous étions des pions…Voués à nous dévouer, sacrifiés pour un roi ou une reine…Aujourd’hui, nous sommes des dominos ! Qui ça ? Mais Toimoinou ! Et les autres, ils ne jouent pas ? Non, eux ils regardent…après avoir lancé la partie d’une pichenette.
Parole de gréviste du pétrole ! ne nous lâchez pas, on a besoin de votre soutien même s‘il est passif. Nous ne sommes pas des voyous ni des casseurs; ceux là sont à la tête de l'état !
Ca parait tellement vieux, passé dépassé, vétuste et désuet, anachronique limite ringard. On peut encore à notre époque ou l’on les mâche et les bouffe, jouer avec des mots entiers qui s’emboîtent les uns dans les autre…Soit ! Alors, action !
Voici l’article rédigé par votre serviteur qui va paraître (si ce n’est déjà fait) sur Médiapart suite à notre rencontre à la fête de l’Humanité avec Edwy Plenel . Nous ne sommes toujours pas encore mort, ni en cormoran ! Qu’on se le dise, les communiqués s’ils se heurtent au silence vont se muscler de plus en plus…pour l’instant il ne s’agit que d’un tir de sommation pour sortir les instances dirigeantes ( !) de leur léthargie !
En direct du balai Déguisé du WolfWolfsshanze (repaire du Loulou)
Nous retrouvons le grand conseil des chaises musicales présidé en personne par Nicoladolf Sarkozitler le bonsaï de la forêt diplomatique mondiale qui dicte à toute heure.
Désolé ! Je m’excuse auprès de ceux que j’insupporte, mais en même temps il n’est de meilleur plaisir que d’enquiquiner ceux qui ne nous aime pas…pas vrai ? Allez ! reconnaissez que cela vous arrive et que vous y prenez une secrète jouissance !
Pendant mes vacances que j’ai voulu en volute un instant studieuse, il était normal de raison que de visiter un musée. C’est donc là même qu’au détour d’un mur mûr, je tombe en arrêt d’urgence devant un tableau, que dis-je une fresque tout en frasque narrant par la gouache la célébrissime bataille de Tuchmybolloks opposant l’armée gériatrique grabataire/mer des Australopythékantropéziens aux troupes aérosol-tétéportées des Tango-Zoulous panachés de mer fleuris en parterre…
C’est vrai ça, après tout ! C’est la question qu’un grand nombre d’entre vous doivent se poser, noyés qu’ils sont depuis des jours par un flot continu d’informations contradictoires par radio, télé et presse écrite ! Laissez-moi donc vous expliquer un peu de quoi il retourne puisqu’il se trouve que cette raffinerie j’ai marché dedans il y a 31 ans…
Jean-Pierre qui aurait pu s’appeler Pierre-Jean a décidé de jouer sa vie à pile ou face
Prêt à subir les caprices d’une pièce de monnaie anonyme lancée en l’air pour retomber sur le côté qu’elle seule aura choisi…
En fait et à notre insu (ce qui n’est pas incompatible dans un verre d’eau) nous sommes cernés par les super héros ! Ils sont partout à nos côtés pour nous protéger du mal en voulant notre bien…Mais qui sont-ils réellement ?
Nous sommes dans le seizième (siècle et arrondissement) ou madame Bettanjardin et madame Connancour discutent sur le trottoir pour bien faire. Ces respectables momies gateau ont 198 ans à elles deux et mais hélas pour elles deux fois moins en milliards de rente…Que voulez-vous, les temps sont durs pour tout le monde. Mais approchons-nous un peu pour les écouter :
Le lexique ça m’excite ! Depuis que je sais que la rousse avait de gros roberts….Joli trait de lettré ! Et puis jouer avec les mots c’est un peu se jouer de nos maux. Profitons-en car ce n’est pas encore taxé par les désaxés !
Histoire d’allumer le feu occulte à l’actu alitée…
Comme nous sommes littéralement bombardés d’infos ces derniers temps concernant notre raffinerie pétroplus, alternant les micros scoops avec les déclarations de non-dits, les communiqués avec les mise en pli au point, je vous propose un petit récapitulatif des dernières brèves de racontar !
De critiquer, se moquer, d’ironiser. Narquois gouailleur, cynique satyre ! De se la jouer Saint Bernard qui en rit du pont levis. Pontifier en donneur de leçon, faussement compatir en vraie pitié qui sent le sale prêtre d’hier. Non ! Moi si je ris de vous c’est parce que je déteste le ris de veau !
Dans notre chère raie publique, si souvent honorée par son fondement, il n’est pas une cérémonie qui me fasse plus rire que les passations de pouvoir sur le perron des ministères par son pathétique ridicule. Nous sommes passés directement du cirage de pompe, à la masturbation collective, le léchage de culte et le suçage de gland !
Bonjour ! C’est en corps moite ! La table est mise, la soupe est servie, prêts pour la dégustation ? Alors en croûte vers de nouvelles aventures ! Nous sommes toujours à la lettre « G », il va falloir en finir, une bonne foi pour tourte !
Et quand il est tiré, il le boire…pour le croire ! jusqu’à la lie, l’hallali ! Nous sommes désormais à la lettre H ! de guerre ! l’aire H ! Vous savez, celle des coupeurs de têtes dans les entreprises. D’ailleurs dans RH…le « R » ne veut plus dire « relation » mais « ressource » ! L’homme est devenu une ressource comme le gaz et l’électricité…vous trouvez ça humain, vous ?
La fête continue. Au mois d’aout point de doute. Nous sommes parvenus non sans mâle, jusqu’à la voyelle « I ». 9ème lettre de l’alphabet. On tient le bambou, courage ! plus que 17 lettres ! et si vous n’en ressortez pas meilleurs, vous n’en sortirez pas pire, bitte !
Pour rappel aux retardataires munis d’un mot d’excuse (les autres devront se présenter directement chez la directrice à la salle des cuirs) nous sommes péniblement arrivés à la lettre « M » qui est assez dense (de saint Guy) mais comme chacun sait quand il l’a appris : quand on « M » on ne compte pas.
Bon. Déjà le titre ne veut rien dire, voilà qui promet. Sinon chez vous, ça va depuis la dernière fois ? Pour ceux qui ont séché, je rappelle que nous sommes toujours la lettre « M » qui est pour le moins copieuse, mais après tout, quand on « M » on ne compte pas…
voila une nouvelle histoire courte. Elle lance le deuxième volume de mes Histoires courtes. Comme pour vous donner l'eau à la babouche et j'espère fortement faire bon accueil au bouquin qui va paraître courant mai !
Mais si Messie! Allez par la queue de la comète ! Soyons fous soyeux flous ! Jouons avec les mots comme d’autres avec l’émail ! Une maille à l’endroit un mail à l’envers…allant vers qui ? kiki ?
Petite ballade le long des criques d'Armorique au pays ou la mer n'en finit plus de parler alors que la Terre a fini de se taire...
Voila un texte écrit il y a quelques années qui me tient particulièrement à coeur à une époque ou les enfants paient cash les conneries des adultes...
comme l'aurait dit le grand Jacquot Higelin !
UN peu de moelleux dans ce monde de brut !
Petite récréation sans préambule de savant. Quelques brèves comme l’existence qui tendent à prouver qu’on peut faire la Gaule sans faire la gueule ! Amusez-vous sinon en pièces vous finirez au musée…
Nouveau volet de notre saga hystérico historique ! Il était inévitable de parler de l'empereur. C'est désormais chose fête ! Réjouissez-vous de Beaune à Sparte !
Occulte coup de biais au culte ! Profanons l'interdit et revisitons en quelques lignes de pêcheur ce que l'église réprouve dans sa chapelle tout en le pratiquant dans sa chaire ! N'oubliez pas de vous confesser dans les commentaires, mes soeurs et mes frères !
Tout sur les mariages de raison, les marivaudages forcés, les alliances passées la blague au doigt d’honneur, la pagaille des magouilles et la mitraille des bidouilles ! les dernières opérations d’addition, de multiplication, de division ou de soustraction avant les résultats sans égal !
En voici quelques uns des miens livrés en pâture. Ces grandes envolées lyriques tragi-comiques ou l’on se sent irrésistible et plus léger que l’air ! …Pour finalement soudain s’écraser lamentablement comme une…merde alors en crash cash sur la terre ferme ! Sous l’œil goguenard et faussement compatissant de témoins heureux de notre malheur…
Alors régalez-vous, c’est ma tournée ! je vous les certifie tous AUTHENTIQUES !
--- A couvert ! On nous canarde !
--- Aaaaah ! Merde ! Je suis touché !
Instantanément, malgré les déflagrations qui succèdent aux détonations résonnant aux quatre coins du village, je me retourne vers le lieutenant Imbert qui vient juste de crier en tombant derrière moi.