Non !
Cherchez pas ! Y en a pas !
ne la réclamez plus, n'essayez plus de vous la faire car
En effet de manche, comme vous aurez pu le remarquer à vos dépens denses
Il n’ y a pas de justice, puisque la justice n’existe pas !
A une époque pas si lointaine, puisque c’est la notre aujourd’hui, ou l’on a l’insulte facile et le mot blessant, un parti d’excrément à droite qui éclat-bouse la droite maladroite pousse sa pseudo pensée intestine jusqu’à l’anus qui l’expose fièrement comme une contribution à l’enrichissement de l’intellect collectif par le fumier social.
Il y avait un petit moment que je ne vous avais narré par le menu les circonvolutions d’un personnage historique. Hein ! mes chères ouailles ! Alors, avant les vacances et afin de pouvoir frimer à l’apéro en étalant votre culture comme de la crème solaire, voici la vraie vie vécue par Armand Du Plessis dit : Richelieu !
Voilà ! En ces temps de crise, il est bon de remplacer la crise de morosité par la crise de foie et les chocolats ou la crise de rire et l’humour ! Par contre un petit conseil de survie ; ne frappez jamais un Con, car comme le Sida ; c’est contagieux ! Ou alors protégez-vous et mettez des gants…
Trocétro ! Cétacé !
C’est insupportable, de ping pong comme de salle à manger !
Irritant laveur et Barbara stressant !
Grotesque en gros texte et ridicule de basse fosse !
Bref pour faire Kurt ; il faut que cela cesse c’est sûr !
Depuis le tant, vous me connaissez ! Pourfendeur des contre-vérités hystériques afin de rétablir la véracité historique. Aussi tournons ensemble quelques pages (comme disait Henri III) et feuilletons les épisodes (la réciproque ne fonctionnant pas) de notre longue et copieuse royauté…
Qui était-il ?
Il était étudiant de gauche en fac de droite. Il était motard par rejet de la voiture. Il pilotait sa cylindrée en roulant peu des mécaniques, blouson de cuir en guise de peau, jean serrant le général et moulant le particulier, bottes de cavalier ; et comme il n’était pas mal de sa personne de jeune male, plutôt mignon, il était loin de déplaire à la gente féminine sans pour autant être un stakhanoviste de la drague…
Prenez ! Servez-vous ! Mais pensez à lui et ne l’oubliez pas ! C’est écrit pour vous afin que vous puissiez le raconter à loisir comme bon vous semble mais soyez sympa de citer l’auteur de temps à autre…Faites ça pour lui, ça flatte son égo sans égal et ça ne vous coûte rien !
Rot du synapse, pet du cervelet, gaz de l’esprit, vent de la conscience ! Tels sont ces nouveaux écrits que je vous livre tels que je m’en délivre ! Comme je dis toujours, hameçons cibles s’abstenir !
Une entreprise de moyenne importance développe une photo presque fidèle de notre société. Le négatif tiré à hue, c’est dia positive en cliché et même si c’est un coup de zoom c’est donc objectif ! Il est frappant de constater comme alors les individus s’apparentent à des animaux dans leur comportement, celui-ci étant exacerbé jusqu’à la caricature d’eux-mêmes en temps de crise…
Je tiens comme il se doit dans le culte, à préciser que toute ressemblance avec des personnes existant ou croyant exister serait complètement fort truite à l’insu de mon plein gré.
Gribouillages de l’esprit, tags du neurone, caricatures du synapse, péroraisons sans raison, malt à propos, griffonnages de la pensée…bref ; du vrac en vrille ! du bavardage histoire passer le taon, comme dit la vache qui le chasse d’un coup de queue !
Non ! N’insistez pas ! Même pas pour de l’argent ou de l’or ! Même pas en rêve ou pour une fellation ! Même en suppliant à genoux, je ne céderai pas ! Il est hors de question de faire un billet de branque sur le scandale de l’affaire dont absolument tout le monde cause et dont strictement personne (sauf 2) ne sait rien !!!
Voila un texte écrit il y a quelques années qui me tient particulièrement à coeur à une époque ou les enfants paient cash les conneries des adultes...
J’aime le calme des cimetières, le seul endroit ou en fin de non recevoir même les cons se taisent. Le silence des allées sans retour, la poésie brut de coffrage des épitaphes qui en quelques lignes de l’humain tentent de résumer une vie entière à défaut d’être totale. Ces quelques mots gravés dans la pierre ou des inconnus s’illustrent sans se la raconter…
Le seul endroit ou sont légitime les mots : A jamais, pour toujours…
C’est la trop courte histoire d’une si longue aventure…
Tout d’abord et avant tout il n’y avait rien. Enfin, pas tout à fait puisqu’il y avait le Néant. Et le Néant ; ce n’est pas rien…même si pourtant si !
La démocratie est une vieille mère maquerelle qui a transformée la République en raie publique de vile salope en se torchant les fesses dans sa robe de blanc utopique après avoir violé tous ses espoirs et ses principes! Ce faisant elle nous a tous transformé en serviles putains pendant que l’argent amassé enrichit la cause des souteneurs en chef de réseau : Ca s’appelle le CAPITALISME.
Voila ma petite contribution à la campagne. D’ailleurs grâce au fumier de la droite jamais l’air de la campagne n’a senti autant le purin ! mais passons sur ces sensations olfactives qui risquent de nous entraîner dans une réflexion scatologique !je me devais d'intervenir pour rétablir certaines vérités...
Extrait du bouquin que je suis en train d’écrire sur l’aventure de la raffinerie de Petit Couronne depuis on abandon par Pétroplus. Ce vendredi 13 avril, je suis victime d’un audit…je ne supporte pas ce défilé de faux cultes authentiquement cons !
Mais si Messie! Allez par la queue de la comète ! Soyons fous soyeux flous ! Jouons avec les mots comme d’autres avec l’émail ! Une maille à l’endroit un mail à l’envers…allant vers qui ? kiki ?
l'été s'en est allé sans retour, voilà l'automne ! afin que seules les feuilles ne soient mortes, quelques conseils de l'apache point comme...
Ah ! (j'aurai pu dire Oh! mais non) Que Justice soit fête !
Il n'est que temps de rétablir quelques vérités premières sur ce roi qui se fit couper en deux pour son pays...
comme l'aurait dit le grand Jacquot Higelin !
UN peu de moelleux dans ce monde de brut !
Petite récréation sans préambule de savant. Quelques brèves comme l’existence qui tendent à prouver qu’on peut faire la Gaule sans faire la gueule ! Amusez-vous sinon en pièces vous finirez au musée…
Quelques quatrains de banlieue qui en grandes lignes vous feront voyager dans mon univers. Un peu de peinture luronne jetée par attouchements légers sur ce monde gris qui s’aigrit. Comme dirait ma palette de port ; Faut pas gouacher ! Alors ne faisons pas tâche…
Ne la subissez plus comme un calvaire. Voici donc quelques activités balnéaires histoire d’occuper vos longues après midis échoué sur le sable. Bougez ! Et mangez cinq fruits de mer par jour !
Petit hommage à l’écru au pays de Camembert 1er, des « pommes pommes girls », des galets et galettes, des forêts vertes automne hiver comme printemps été ! A cette terre qui m’a vu naître bien que je ne vis pas le jour de boue dans un champ…
En voici quelques uns des miens livrés en pâture. Ces grandes envolées lyriques tragi-comiques ou l’on se sent irrésistible et plus léger que l’air ! …Pour finalement soudain s’écraser lamentablement comme une…merde alors en crash cash sur la terre ferme ! Sous l’œil goguenard et faussement compatissant de témoins heureux de notre malheur…
Alors régalez-vous, c’est ma tournée ! je vous les certifie tous AUTHENTIQUES !
C’était beau et émouvant comme un arc-en-ciel dont la palette aurait été dupliquée par cent, par mille. Pour une fois toutes les couleurs du temps et leurs demi teintes de saison étaient représentées. Pour une fois, nous étions tous entièrement d’accord pour être complètement contre !
Donc, acte. Une manifestation de mécontentement et de colère dans la joie et la bonne humeur. Une manifestive, quoi !
Allez, viens ! C’est bref et violent comme un orage d’été. C’est court toujours, même si ça ne rime à rien. C’est aérien et renversant comme le baiser furtif d’un lampadaire sur la joue offerte du distrait qui regarde derrière lui le troublant jupon qu’il vient de croiser en oubliant de prendre en compte l’obstacle psychorigide !
C’était un de ces petits matins gris jaune pisseux, comme si les Dieux paillards et païens soignaient leur gueule de bois de la veille en urinant copieusement sur leurs créations terrestres.
Causons un peu des américains légitimes, c’est-à-dire ceux que le gros Colomb a injustement nommé « Indiens » un matin de gueule de bois en crashant sa caravelle sur leur côte meurtrie un lendemain de cuite à l’eau de mer. Les indiens…Ces vrais américains…Et non pas le ramassis de coupe-jarrets et autres trousse-chemises déversés du vieux continent comme on vide incontinent un poubelle !